vendredi 27 novembre 2015

Voilà comment les responsables du parti socialiste en Auvergne traitent les agriculteurs


Ce matin nous avons assisté à toute l’incompétence et la méconnaissance des dossiers agricoles par les représentants du parti socialiste au pouvoir.

Alors que se déroule ce week-end à Moulins la finale nationale du concours charolais, les autorités étaient invitées à visiter les éleveurs exposant leurs superbes animaux et ensuite à remettre les prix  pour les gagnants valorisant souvent un travail de très longues années.
Le président de la Chambre d’Agriculture dans ses propos a souligné très justement les difficultés  actuelles des éleveurs. Il a aussi indiqué la complexité des relations avec le Conseil Régional sur la gestion du 2eme pilier de la PAC qui a mis 18 mois pour élaborer la programmation, pour un calendrier qui devait être appliqué au 1er janvier 2014, et l’appel aux projets par le Conseil Régional en plein mois de juillet 2015 avec 15 jours pour répondre, car il est bien connu qu’en agriculture c’est la période où les agriculteurs ont le moins de travail.
Marie-Jo Chassin, vice-présidente chargée de l’agriculture au Conseil Régional et candidate à sa réélection, contre toutes les règles de préséance a pris la parole pour dire que ce n’était pas la faute du Conseil Régional mais de l’Europe. Quand on sait comment la région a tout mis en œuvre pour éviter le dialogue avec la profession pour mener ce dossier et que devant l’incompétence de sa vice-présidente le président de la région a été obligé de reprendre la gestion de ce dossier personnellement, les agriculteurs et les responsables professionnels n’ont pu s’empêcher de sourire et de se moquer d’elle.
Et pour clore sa magnifique intervention elle déclara qu’elle devait s’en aller pour rejoindre Clermont pour un colloque sur l’agriculture paysanne, plantant là l’excellence des éleveurs charolais et laissant remettre les prix du Conseil Régional à Isabelle Gardien conseillère régionale….de l’opposition sans même avoir la politesse d’écouter aucun des discours des responsables agricoles et politiques qui ont parlé après elle .
Ensuite le député de la circonscription au cours de son intervention a tenté de dédouaner le Conseil Régional de la gestion de ce dossier PAC sans convaincre l’assistance et s’est félicité que la majorité de la surface du département de l’Allier ait été déclaré favorable à l’indemnisation de la sécheresse par le comité national des calamités en disant qu’il avait appuyé la demande. Je ne sais quelle demande il a pu appuyer puisque jamais il n’a eut un quelconque contact avec la chambre d’agriculture qui gère ce dossier. Cela s’appelle de l’opportunisme sans n’avoir jamais rien fait.
Voici donc comment les représentants du parti socialiste au pouvoir considèrent l’agriculture Bourbonnaise et Auvergnate, par le mépris, la méconnaissance des dossiers, le manque de politesse et la volonté de favoriser toute l’agriculture sauf celle qui représente 90% des agriculteurs de notre région.

Honte à eux et changeons vite de ceux qui gouvernent actuellement la région !

mercredi 25 novembre 2015

Voilà pourquoi je m'engage aux côtés de Laurent Wauquiez


Les 100 premiers jours :

Un calendrier d’actions pour des promesses tenues Dès l’élection du Président et des Vice-présidents le 4 janvier 2016, nous lancerons immédiatement plusieurs grands chantiers et instaurerons les bases d’une gestion exemplaire et saine de la Région :

Aucune hausse d’impôts et de taxes dès le vote du premier budget de Rhône-Alpes Auvergne (soit avant le 31 mai 2016).

FISCALITÉ Les crédits nécessaires à la mise en oeuvre des 3 pactes seront ouverts dès le vote du premier budget.

LANCEMENT 3 PACTES : “1 apprenti, 1 entreprise”, “préférence régionale”, “la Région dans nos assiettes” Création d’une Viceprésidence dédiée dès l’installation de l’Assemblée régionale, dès le 4 janvier 2016.

DÉFENSE DE L’ARTISANAT ET DU COMMERCE Lancement immédiat du grand chantier pour recentrer notre offre de formation professionnelle et instaurer un système droits-devoirs pour une politique opérationnelle dès la rentrée 2016.

FORMATION PROFESSIONNELLE, DROITS ET DEVOIRS Vote des crédits pour le rétablissement des bourses au mérite dès la constitution du premier budget de Rhône- Alpes Auvergne, pour un versement des premières bourses dès juin/juillet 2016.

RÉTABLISSEMENT DES BOURSES AU MÉRITE Vote des crédits pour la création du Fonds d’intervention pour le maintien des commerces de proximité dès le vote du premier budget. Mise en oeuvre des mesures de soutien aux agriculteurs dès le vote du premier budget.

DÉFENSE DE LA RURALITÉ Lancement des études et vote des lignes budgétaires lors du vote du premier budget.

CRÉATION D’UN CAMPUS DU NUMÉRIQUE 3 Dès le vote du premier budget, vote des crédits pour le financement de la vidéoprotection dans nos gares, TER et lycées ainsi que pour les communes qui le souhaitent.
Dès le vote du premier budget, vote des lignes budgétaires pour la création du fonds de dotation pour la sécurisation des sites SEVESO. BOUCLIER SÉCURITÉ
Dès janvier 2016, mise en place d’une police ferroviaire dédiée, lancement d’un plan d’investissement pour la modernisation des lignes ferroviaires et l’amélioration de la ponctualité des trains et du confort des voyageurs.

Ici vous trouverez le détail de toutes les propositions

dimanche 15 novembre 2015

Ne fuyons pas nos responsabilités


Ne fuyons pas nos responsabilités et ne faisons pas porter toutes celles dont nous n’avons pas le courage de les reconnaître sur ces misérables lâches dont le cerveau est manipulé par quelques tortionnaires se servant d’une religion comme arme du pouvoir.
Reconnaissons que notre arrogance est  trop souvent la marque de fabrique de l’occident, et le combat guerrier contre des états dont seule l’histoire est leur légitimité n’est pas forcément une bonne initiative.
Reconnaissons aussi que le développement de notre civilisation occidentale s’est fait trop souvent sur la construction de ruines des pays soumis.
Les dirigeants mondiaux portent une responsabilité de l’effroi  de chaque minute depuis le 11 janvier et  le 13 novembre 2015.
Nous portons aussi la responsabilité du manque d’effort à corriger nos travers et se cacher la vérité que l’occident décline sous le manque de réalisme économique en créant une fracture entre ceux qui possèdent et ceux qui n’ont rien y compris en son intérieur.
La radicalisation n’est que le fruit charnu que goûtent les laissés pour compte de notre économie chancelante, cherchant une voie dans les drogues parmi lesquelles des religions n’ayant pas franchi l’âge de maturité.
Le regroupement des radicaux sous des bannières dont la religion est le prétexte ne se fait que grâce à la complicité de l’occident qui forme ceux qui sont à la tête des combats, jaloux de la prospérité de leurs études au profit de leurs peuples démunis. La complicité de l’occident à leur acheter leurs matières premières si vitales pour nos économies et leur revendre les armes qui tuent notre population en retour.
Nous portons la responsabilité à payer des places de football une fortune enrichissant une poignée de malheureux pousseurs de balles accumulant cette fortune, plutôt que d’accepter de mettre le prix de ces quelques minutes dans la formation de nos enfants, de la construction de leur santé, dans une nourriture de qualité ou le placement dans la création d’emplois.
Notre économie va mal et elle est la cause de tous nos malheurs car nous refusons d’élire des dirigeants courageux qui pourraient la remettre sur pied, d’écouter la voie de la raison si difficile à entendre en préférant succomber aux sirènes du populisme et de la facilité qui a pourtant été la cause de tant de guerres.
Les extrêmes religieux ou politiques ont tous le même combat, celui de la domination au nom d’un dogme, l’empêchement à la réflexion et l’évitement du dialogue entre les différences et l’expiation du bouc émissaire.
Nous pouvons condamner ces actes odieux, mais nos mots n’auront jamais la force de l’histoire qui clouera au pilori les acteurs de ces monstruosités convaincus de leur bonne foi, qui passeront dans la postérité comme des Judas y compris dans leur propre religion.
Leurs frères le temps de quelques secondes sont convaincus de leur martyr et des voies du paradis ouvertes, mais ne les trouveront que dans l’enfer du paradis.
Ne fuyons pas nos responsabilités et prenons celle de nous changer, de devenir modestes et humbles, d’engager des réformes profondes dans nos économies, de placer comme représentants du pouvoir politique des hommes soucieux de l’intérêt général, du service aux autres et capables d’un langage de vérité.
L’adversité n’est faîte que pour être aplanie par le courage, il nous faut accepter des larmes et du sang, il nous faut chasser les populistes et diseurs de bonne aventure, la vérité fait mal n’est pas bonne à entendre mais doit venir plus que jamais l’emblème de l’occident.  

« Ils peuvent couper toutes les fleurs, mais ils ne peuvent pas arrêter le printemps »

Pablo Néruda

mercredi 11 novembre 2015

Mon discours à l'occasion de la cérémonie du 11 novembre


« Tu ne peux savoir, ma mère aimée, ce que l’homme peut faire contre l’homme. Voici cinq jours que mes souliers sont gras de cervelles humaines, que j’écrase des thorax, que je rencontre des entrailles. Les hommes mangent le peu qu’ils ont, accotés à des cadavres. Le régiment a été héroïque : nous n’avons plus d’officiers. » 

Cet extrait de lettre d’Eugène Emmanuel Lemercier à sa mère il y a cent ans nous rappelle par des mots très justes et très directs une triste réalité transposable aujourd’hui.
Fermez les yeux, imaginez ce que peut écrire un combattant en Syrie, ou quelque part au moyen orient, ces mots sont sans doute les mêmes dans les décombres des villes détruites.
« Tu ne peux savoir, ma mère aimée, ce que l’homme peut faire contre l’homme. »
Il n’y a aucun dieu ni aucune religion qui guide l’homme vers la guerre, il n’y a pas de loi supérieure à l’homme qui dicterait de faire la guerre.
Au contraire c’est l’homme seul, fanatique dont la réflexion se situe au plus bas de sa conscience par la vanité et la soif de pouvoir qu’il veut exercer sur l’autre, se servant de toute croyance pour se détruire lui-même.
Ce 11 novembre 2015 commémore la barbarie humaine alors que nous sommes il y a cent ans au paroxysme de la guerre dont nous célébrons aujourd’hui la mémoire.
Faut il justement que nous n’ayons pas de mémoire pour répéter sans cesse les mêmes erreurs, qui amènent  aux mêmes résultats.
Soyez remerciés vous toutes et tous qui êtes présents ici en ce jour pour se souvenir de ce que peut être la bêtise humaine et de ceux qui ont donné leur vie pour que nous puissions jouir de nos libertés.
Usons de cette liberté pour nous exprimer, pour crier notre expérience de la guerre, de ses souffrances, de ses horreurs et de son inutilité.
Usons de cette liberté pour porter l’éducation, le savoir, la connaissance afin que cesse la domination de ceux qui ignorent par ceux qui savent.
L’historial de Fleuriel que nous avons inauguré vendredi dernier n’a pour seul but de faire savoir que ce sont les paysans, les petits, les faibles qui ont donné leur vie comme très souvent dans toutes les guerres.
Bien au-delà soyons les chantres de la liberté de parole, du dialogue, du respect pour que quelles que soient les différences les hommes cessent de se faire la guerre, très loin mais aussi très près de nous, chez nous.
La France est un pays de liberté, la France est un pays de conscience dont ses valeurs sont malmenées en ces temps difficiles qui amènent le trouble chez nos concitoyens et la tentation des vieux démons ressurgit dans l’expiation des conséquences plutôt que la correction de la cause.
Gardons la tête froide, soyons les porteurs de nos valeurs et de nos droits, sans oublier la masse de nos devoirs  et du premier d’entre eux le devoir de mémoire.
Mesdames et Messieurs nous sommes là car la force de notre nation est d’avoir surmonté toutes les épreuves même les pires,  le peuple français s’est toujours retrouvé pour dépasser les difficultés,  en l’honneur de ceux qui ont donné leur vie pour nous et pour leur respect nous devons faire bloc devant l’adversité d’aujourd’hui.
La chance de notre société moderne est de porter la connaissance, le savoir et l’information à chacun d’entre nous, pour que nous puissions décider en toute connaissance de cause.
La propagande pouvait exister en 1915 lorsque les poilus n’avaient qu’une seule source d’information officielle ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, alors jouissons de la pléthore d’informations mais ne nous laissons pas griser par les sirènes de celles qui crient le plus fort.

Encore merci de votre présence en ce jour et je vous invite à boire un verre autour de la fraternité  en l’honneur de ceux qui sont inscrits au fronton de notre monument aux morts.

samedi 7 novembre 2015

Je serai candidat aux élections régionales


 
Le bruit courrait déjà depuis quelques temps et la réflexion dût mettre du temps pour que je me décide, mais je serai effectivement candidat aux élections régionales les 6 et 13 décembre sur la liste menée par Laurent Wauquiez.

J’évacue tout de suite le côté politique de l’affaire, personne n’ignore mes idées qui sont davantage de droite dans un courant de démocrate chrétien sans jamais avoir jusqu’alors adhéré à aucun parti politique.  Je n’ai jamais adhéré car l’occasion ne s’est pas trouvé mais surtout car engagé dans le syndicalisme agricole j’ai mis toute mon énergie depuis l’accession à la présidence de la FNSEA03 de bien distinguer syndicalisme, défense du monde agricole et politique politicienne qui a gangréné si longtemps notre représentation agricole départementale.
C’est donc comme élu,  professionnel et acteur de la société civile que je m’engage désormais dans le désir de participer à la gestion d’une collectivité locale devenue très importante pour le monde agricole.
Depuis la dernière réforme de la Politique Agricole Commune, les régions sont amenées à gérer une partie du budget délégué par l’Europe au profit des actions du monde agricole et rural et la future région Auvergne-Rhône-Alpes gérera un budget de plus de 2 milliards d’Euros et qui sera le deuxième budget de cette région.
Je m’engage donc avec sincérité au service de la cause rurale, car l’agriculture est la partie la plus importante de ce monde rural, mais n’est pas la seule ne serait-ce que par l’aménagement du territoire qu’elle conditionne et aussi les très grandes activités qu’elle génère en amont et en aval.
Vous avez pu vous apercevoir de ma détermination dans toutes les activités et tous les dossiers que j’ai été amené à travailler au long de mon parcours d’engagement syndical et politique au niveau local, cette détermination est intacte au futur niveau régional.
Je suis agriculteur avec mon frère à St Pourçain sur une exploitation de polyculture élevage que nous avons repris à notre famille et que nous faisons prospérer et même avons diversifié les productions avec en premier la production de framboises et ensuite la construction d’une unité de méthanisation produisant du gaz injecté dans le réseau GrDF couvrant les besoins d’environ 260 foyers. 
Pour ceux qui ne connaitraient qu’une facette de mes engagements, je veux dire à tous que mon expérience est riche et a naturellement commencé dans le monde associatif où j’ai exercé très tôt des responsabilités dans une de mes passion qu’est la musique classique en pratiquant, enseignant puis dirigeant des orchestres jusqu’à un niveau semi-professionnel .
Dès 1995 Bernard Coulon m’a demandé de venir travailler au sein de l’équipe municipale de St Pourçain où j’exerce la fonction d’adjoint depuis cette date en charge d’abord de l’urbanisme à laquelle s’est ajouté ensuite les travaux et la gestion du patrimoine  et désormais des travaux en tant que premier adjoint. Mais à cette date Bernard m’a demandé aussi d’être vice-président du SIAD devenu en 2002 la communauté de communes en pays St Pourcinois en charge de l’aménagement du territoire et de l’école de musique et depuis 2014 se sont ajoutés les travaux et la mutualisation intercommunale. Je suis aussi vice-président du SIVOM eau et assainissement du Val d’Allier en charge des finances. Loin de moi la volonté d’étaler un catalogue de responsabilités, mais surtout expliquer que mon engagement régional, si les électeurs le veulent demain, se fera sur une expérience d’élu local forgée en près de 20 ans par la réalité du terrain, des contraintes réglementaires toujours plus importantes, de la difficile gestion des fonds publics mais aussi du grand plaisir d’arriver à améliorer le quotidien  de mes concitoyens. La réalisation dont je suis sans doute le plus fier est la construction de la station d’épuration unique en Europe par son procédé de traitement des micropolluants qui ajouté à l’incinération des boues permet un rejet zéro de la pollution créée par l’homme dans le milieu naturel. L’écologie il y a ceux qui en font un fonds de commerce dont le seul but est de se faire élire, moi c’est dans la pratique que je fais de l’écologie.
Mon engagement régional se fera donc au service des collectivités rurales afin que les aides régionales et européennes soient les plus ajustées possibles mais surtout qu’elles ne s’accompagnent jamais de contraintes supplémentaires en matière réglementaire.
Mon autre engagement a été dès la sortie de l’école d’agriculture dans ma profession au service des agriculteurs par le syndicalisme. J’y ai gravi les échelons et responsabilités jusqu’ à ce que les agriculteurs me confient la présidence de la FNSEA03, en 2008, et deux ans plus tard ce syndicat adhérait officiellement à la FNSEA au niveau régional et national.
J’ai mis toute mon énergie à rassembler les agriculteurs et gommer 40 ans de division syndicale,  en 2012 les Jeunes Agriculteurs nous rejoignaient dans un ensemble syndical majoritaire qui conforta la majorité à la Chambre d’Agriculture en 2013. Depuis je n’ai cessé les contacts de plus en plus rapprochés tant avec les syndicats professionnels spécialisés tels que le Syndicat des Eleveurs de Moutons, le Syndicat des Irrigants, que les organisations professionnelles coopératives et mutualistes,  mais aussi des syndicats des salariés agricoles en tant que représentant des employeurs de main d’œuvre ou avec l’administration départementale et régionale.
La FNSEA03 est devenue l’acteur majeur des discussions dans le monde agricole comme c’est le cas en ce moment en pleine crise de la FCO, étant le relais entre le niveau national et départemental au niveau des décisions sanitaires et de la gestion de la crise. Je l’ai fait grâce à une équipe resserrée autour de moi, composée d’agriculteurs compétents chacun dans leur domaine et travaillant ensemble dans une très grande confiance. Cela m’a permis grâce aux contacts avec les agriculteurs du terrain et les membres du conseil d’administration d’apprendre une foule de choses et d’acquérir une expérience très pointue sur tous les sujets agricoles.
J’irai, j’espère, siéger à Lyon avec cette confiance que me témoignent les agriculteurs de mon département avec cette conviction chevillée au corps de continuer à les défendre, de défendre ce métier que j’aime tant et que je ne laisse pas, avec humilité devant les difficultés mais avec la ténacité qui me caractérise à ne jamais lâcher prise tant que je n’obtiens pas les résultats souhaités.

Je m’engage aussi avec une conviction de moralité et d’intégrité de servir l’intérêt général sans aucune ambition de retombées personnelles.
 
En 20 ans de mandat électif, j’ai accepté les indemnités liées à mes fonctions dans le but de dédommager mon temps, mais je n’ai jamais accepté aucun cadeau même le plus bénin d’aucune entreprise dans le cadre de ces fonctions. De même j’ai accepté un nombre d’invitations à des repas ou manifestations  offerts par des entreprises qui se comptent sur les doigts d’une seule main et toujours lorsque le marché était terminé. Je n’ai jamais demandé aucun frais de déplacement aux collectivités hormis une fois par an un voyage en train au salon des maires et pour cela voté en conseil municipal. Enfin même si je suis certain que beaucoup d’élus se comportent comme moi et heureusement j’ai toujours veillé à ne jamais mélanger mes intérêts privés de mes fonctions quitte à pénaliser ma propre entreprise. Mes fonctions syndicales  ont été exercées de façon quasi bénévole durant toutes ces années.
Je veux dire mais surtout prouver qu’il est possible d’exercer des fonctions électives de façon complètement désintéressée personnellement, avec le seul souci de l’intérêt général, au service de mes concitoyens avec un bénéfice immense et incommensurable des nombreuses relations humaines et de l’enrichissement intellectuel créé par ces fonctions.
Si les électeurs le souhaitent je serai à leur service dans de nouvelles fonctions et ils peuvent déjà laisser des commentaires sur ce blog auxquels je répondrai dans le cadre de la courtoisie. 

« La grandeur est un chemin vers quelque chose qu’on ne connaît pas » Charles De Gaulle.