vendredi 27 janvier 2012

Une nouvelle page se tourne!







Une nouvelle page de l’histoire syndicale s’est écrite hier soir à Neuvy.
Les Jeunes Agriculteurs ont voté à une très large majorité, plus de 67%, le rapprochement de leur structure avec la FNSEA03.
En présence de Christophe Chambon, secrétaire général national, Fabien Anglade président des JA du Massif Central, et de moi-même, le courageux David Jouanet et son bureau ont réussi à convaincre les adhérents présents que le travail sur l’installation ne peut se faire à l’avenir qu’en collaboration avec la FNSEA03 et la Chambre d’Agriculture.
Le débat a été vif, et beaucoup d’attaques et questions de la salle étaient sur le thème politique, exacerbé par l’article du journal La Montagne des trois anciens présidents des JA.
Cela me chagrine d’autant plus, que si le combat politique a certes eu lieu entre nos aînés, je pensais qu’il était fini et dépassé, et que nous devions nous rassembler et nous battre derrière une volonté syndicale agricole. Que des jeunes de 20 à 30 ans soient encore imprégnés d’un combat politique, veut dire qu’il sera difficile pour notre département de tourner cette vilaine page pour encore longtemps.
Heureusement la discussion a aussi porté sur la politique d’installation et l’avenir de l’agriculture.
Quoi qu’il en soit, notre présence n’a sans doute pas été inutile et le discours de vérité et de sincérité a gagné sur un discours ringard de politique politicienne.
Le travail en commun des deux structures maintenant a pour objectif de rassembler tous les agriculteurs de ce département dans une même direction, celui de l’intérêt agricole, et je mettrai toutes mes forces à maintenir ce cap.
Je ne suis pas dupe, certains vont encore vouloir marquer le paysage d’une vision et un discours différent. Tant qu’il sera sur le thème de l’agriculture j’accepterai le débat, mais je ne me laisserai entraîner sur aucun autre chemin parallèle.
J’ai jusqu’à ce jour prouvé que je travaillais dans le sens de l’unité, cela dérange, et je suis a peu près certain que beaucoup vont vouloir jouer le jeu de la division. Les masques vont petit à petit tomber. Nous assisterons bientôt à des alliances de contre nature ou d’opportunité, dans le seul but de faire échec à l’unité.
Une page se tourne, mais il en reste beaucoup à écrire.

mercredi 25 janvier 2012

Vive le WWF et Coca-Cola!



La lutte contre l’obésité est une priorité nationale aux USA, et cela passe inévitablement par une alimentation plus équilibrée. Est mise en cause dans cette lutte, toute la nourriture autour des pizzas, chips, plats industriels et boissons sucrées.
Mais les organisateurs de cette lutte doivent affronter des lobbies puissants, c'est-à-dire toutes les entreprises produisant ces denrées et le premier d’entre eux, Coca-Cola.
Mais aussi, et c’est là le plus surprenant, le WWF ! En effet cette association environnementaliste bien connue pour son engagement en faveur de l’agriculture biologique n’hésite pas à promouvoir au USA…Coca-Cola. Sous prétexte de sauver les ours polaires et de collecter des fonds à cet effet, le WWF s’est associé au mastodonte de la boisson sucrée aux USA. Coca-Cola a effectué un premier don de 2 millions de dollars en 2011 et a promis de transmettre à l’association un pourcentage pris sur la vente des canettes dans la limite de 1 million de dollars. A raison de 1,5 milliard de canettes vendues par jour, l’objectif est réalisable….
On connaît les charges virulentes du WWF contre l’eau du robinet régulièrement mise en cause pour sa qualité, ou bien les OGM dont la nocivité reste à vérifier, mais rien contre la célèbre boisson gazeuse dont la base sucrée est réalisée à partir de betteraves…OGM !
Il faut chercher dans la gouvernance du WWF pour comprendre et se rendre compte que le vice-président du WWF aux USA n’est autre que Neville Isdell, l’ex PDG de Coca-Cola. Et même en Europe l’actuel président du WWF Belge est Ronal Biegs, PDG de Coca-Cola Bénelux en 1978. Des retraités sans nul doute très actifs…
Une pierre dans le jardin de tous les bobos très attentifs à l’action du WWF, et une fissure dans la glace de ceux qui se laissent attendrir par le logo du célèbre panda.

Le coopératisme: un poids lourd de l'économie!




Cent millions d’emplois, 800 millions de membres et une puissance économique équivalente à la 10e économie mondiale. Le portrait statistique du mouvement coopératif a de quoi impressionner. Le Québec n’est pas en reste et le Mouvement Desjardins profite de cette Année internationale des coopératives pour publier une étude sur le coopératisme et l’économie sociale.L’auteure de l’étude et économiste principale chez Desjardins, Joëlle Noreau, constate que le mouvement coopératif se distingue avantageusement de plusieurs façons. D’abord, le taux de création d’emplois des coopératives non financières a été plus rapide que celui de l’ensemble de l’économie québécoise durant la période 2004 à 2008. Depuis plus d’une décennie, le taux de survie des coopératives est nettement supérieur à celui des entreprises en général. Le ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation explique cette résistance par des facteurs intrinsèques aux coopératives,notamment le fait qu’elles mettent avant tout l’accent sur les services aux membres plutôt que sur le rendementsur le capital, leur gestion démocratique qui les oblige à une reddition de comptes à leurs membres et au rôle central de ceux-ci qui ont la double identité d’investisseurs et de clients.« Si les temps durs sont propices à l’éclosion des coopératives, ils leur permettent également de prouver leur robustesse, puisque ces dernières ont mieux résisté que l’ensemble des entreprises de type traditionnel lorsque l’économie mondiale a fléchi en 2008 et 2009 », note pour sa part le viceprésident et économiste en chef chez Desjardins, François Dupuis, en s’appuyant sur une enquête de l’Organisation internationale du travail. Mais quand vient le temps de chiffrer l’apport de l’économie sociale et du coopératisme au produit intérieur brut (PIB) du Québec, l’exercice se complique. Les estimations convergent toutefois vers 6 à 7 %. L’agroalimentaire contribue largement à l’importance économique de la formule coopérative. En termes de nombres, les coops de ce secteur arrivent au 2e rang de toutes celles des milieux non financiers avec 212 entités. Au chapitre de l’emploi, les coopératives agroalimentaires terminent premières,avec 50 % des emplois.« Enfin, si l’analyse se fait par le biais de l’actif, le champion toutes catégories est le secteur agroalimentaire. À lui seul, il accapare 60,3 % des actifs des coopératives non financières. En fait, près de 50 % de ce que l’on trouve dans l’assiette des Québécois a été transformé dans une coopérative,résume Mme Noreau. De même, si l’on considère le chiffre d’affaires, c’est l’agroalimentaire qui se trouve en tête avec 82,5 % du total des coopératives non financières. »Tout n’est cependant pas rose dans le monde de la coopération, qui doit constamment lutter pour sa reconnaissance.« Après la crise financière, qui a souligné les faux pas auxquels peuvent mener parfois les excès du capitalisme, la formule coopérative est apparue comme une option de plus en plus intéressante et crédible », analyse MmeNoreau. Pour l’économiste, l’occasion est donc fort belle d’entreprendre une opération de « grande séduction »auprès de la population. Et quoi de mieux que de tirer profit de cette Année internationale des coopérativespour y parvenir? J.M.

vendredi 20 janvier 2012

Voilà du baume au coeur!



OGM
« Indignez-vous, plantez des OGM » (Yann Kindo, sympathisant LO)
Publié le vendredi 20 janvier 2012 - 18h08

« Indignez-vous ! Entrez en résistance ! Rejoignez le combat ! Devenez Planteur Volontaire d'OGM ! ». Ainsi se termine un billet du 9 janvier écrit par Yann Kindo, sympathisant de Lutte Ouvrière, sur son blog hébergé par le site Mediapart.

Réagissant la semaine dernière à une actualité particulièrement riche en matière d'OGM, et notamment l'annulation par le Conseil d'Etat de l'interdiction de planter du maïs Mon 810 en France formulée par le gouvernement en 2008, Yann Kindo demande à qui l'entendra d'« épuiser » les faucheurs volontaires dont il dénonce la dérive obscurantiste (arrachages de variétés de colza ou tournesol obtenues par mutagénèse ou de vignes expérimentales à l'Inra de Colmar), en plantant du Mon 810 partout où on le peut.

« Avec quelques copains », cet enseignant en histoire et géographie, chercheur en histoire du communisme et des sciences, a décidé de créer, à contre-courant de la bienséance citoyenne et de manière « informelle », le mouvement des « Planteurs Volontaires d'OGM ». Les Planteurs Volontaires « seront insaisissables, ils n'auront ni structure ni direction, ils fonctionneront comme un réseau d'activistes indépendants », explique-t-il.

« L'idée est simple, explique Y. Kindo : épuisons les Faucheurs Volontaires en plantant dans nos jardins et sur nos terrasses du maïs MON 810, aussi longtemps que ce n'est officiellement pas interdit. Que mille épis fleurissent, comme disait à peu près le président Mao, et que les Faucheurs ne sachent plus où donner de la tête ! »

Car, souligne ce militant de gauche, sympathisant de Lutte Ouvrière, avec l'abandon du moratoire, « une petite fenêtre s'ouvre pour les OGM dans l'Hexagone cette saison, et on ne peut pas exclure que des agriculteurs courageux - ou téméraires - décident de semer la variété qui à l'heure actuelle n'est de fait plus bannie ».

Il précise bien évidemment qu'ils « désobéiraient au gouvernement, puisque NKM (Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Ecologie, NDLR) a immédiatement déconseillé de le faire et annoncé le lancement d'une nouvelle clause de sauvegarde ». Quant à Bruno Le Maire, son homologue de l'Agriculture, il a réaffirmé également jeudi 19 janvier, lors du congrès d'Orama (Union des grandes cultures), son opposition à un maintien de l'autorisation de planter le Mon 810 pour la campagne de semis à venir, quelques jours après avoir reçu les opposants à la culture du Mon 810 rue de Varenne.

Pour sa part, Yann Kindo, s'adressant aux Faucheurs de son département de résidence, l'Ardèche, prévient qu'ils pourront trouver ses plants d'OGM sur son terrain « en face des pruniers, sur la colline au dessus de la ruche, près de l'arbre où il y a le nichoir pour chouettes hulottes ». Il pousse l'ironie jusqu'à rassurer les éventuels Faucheurs réquisitionnés pour la défense de leur cause : « J'ai enlevé tout ce qu'il y a comme grilles ou barbelés, c'est facile d'accès, à condition de ne pas se fouler la cheville dans la pente. » Et de solliciter au passage, sur un ton moqueur, leur « dynamisme arracheur pour en finir avec les ronces, voire pour ériger quelques mètres de murs de pierres sèches ».

Au-delà de la boutade provocatrice, cette sortie de Yann Kindo stigmatise un fait irréfutable : les OGM ne sont ni de droite, ni de gauche, mais ce sujet polémique relève d'une opposition entre raisonnement scientifique et calcul politique, sur fond de sentimentalisme citoyen exacerbé.

mardi 17 janvier 2012

La recherche fout le camp!



Quelle tristesse, lisez ce qui suit, extrait de la France Agricole

OGM
BASF arrête le développement et la commercialisation des projets destinés au marché européen
Publié le lundi 16 janvier 2012 - 16h02




BASF annonce lundi dans un communiqué qu'il va concentrer ses activités de recherche en biotechnologies végétales sur les marchés d'Amérique du Nord et du Sud. Le siège de BASF Plant Science sera également transféré de Limburgerhof en Allemange, à Raleigh en Caroline du Nord. Les activités de recherche et développement seront principalement regroupées à Raleigh, à Gand (Belgique) et à Berlin (Allemagne).

Le développement et la commercialisation de tous les projets OGM exclusivement destinés au marché européen seront arrêtés. Cela comprend les pommes de terre génétiquement modifiées destinées à l'industrie féculière (Amflora, Amadea et Modena), une pomme de terre résistant au mildiou nommée Fortuna, ainsi qu'une pomme de terre enrichie en amylopectine (amidon) et résistante au mildiou et une variété de blé résistante aux maladies fongiques.

Pour garder ouvertes toutes les options concernant ses projets de pommes de terre, BASF Plant Science continuera les processus d'homologation déjà entamés.

« Nous sommes convaincus que les biotechnologies végétales sont des technologies clés pour le XXIe siècle. Toutefois, il y a encore un manque d'acceptation pour cette technologie dans une grande partie de l'Europe - de la part de la majorité des consommateurs, des agriculteurs et des responsables politiques. Cela n'a donc aucun sens de continuer à investir dans des projets exclusivement destinés à ce marché », dit Stefan Marcinowski, membre du directoire de BASF, responsable des biotechnologies végétales.

La culture d'Amflora, lancée sur environ 300 hectares dans trois pays en 2011, mais qui se limitait l'année dernière à une parcelle de deux hectares en Allemagne, n'a quasiment par généré de ventes, a indiqué le groupe BASF.

Les pommes de terre OGM représentent une goutte d'eau dans le segment des « biotechnologies vertes » de BASF, qui y a investi moins de 100 millions d'euros ces dix dernières années, sur un total de 1,2 milliard d'euros pour l'ensemble de la division, a précisé M. Marcinowski

Le groupe allemand place beaucoup plus d'espoirs dans sa coopération avec le géant américain des OGM Monsanto. Leur premier produit commun, un maïs résistant à la sécheresse, a été autorisé fin 2011 aux Etats-Unis. Et une variété OGM de soja de BASF résistant aux herbicides a déjà obtenu un feu vert au Brésil.

Avec son partenaire brésilien, l'institut de recherche agricole Embrapa, BASF travaille aussi sur un projet de canne à sucre OGM à hauts rendements.

Pour se rapprocher des marchés nord et sud-américains, le groupe a également décidé lundi de délocaliser le siège de ses activités dans les biotechnologies vertes à Raleigh en Caroline du Nord (Etats-Unis), au détriment de deux sites allemands et une installation en Suède.

Globalement, cela signifie que BASF va supprimer 140 postes en Europe. Mais le groupe va tenter de replacer ces salariés dans d'autres activités du groupe.

Des unités de recherche-développement dans les OGM à Berlin et à Gand en Belgique devraient être renforcées. Car « bien que les conditions pour la culture d'OGM soient défavorables en Europe, il y a des instituts de recherche et des universités de rang international » dans ce domaine, a relevé Peter Eckes, le responsable de la division des biotechnologies végétales chez BASF.

De son côté la Commission européenne a pris acte lundi de la décision du groupe allemand de renoncer à développer des produits transgéniques dans l'UE et n'autorisera aucun OGM avant d'avoir obtenu un accord sur les règles pour leur culture, a déclaré un de ses porte-parole.

« C'est un choix d'entreprise et nous prenons note », a commenté Frederic Vincent, porte-parole du commissaire en charge de la Santé et des Consommateurs John Dalli.

La décision du groupe allemand va avoir des conséquences pour l'autre OGM autorisé à la culture dans l'UE, le maïs MON810 de Monsanto. La multinationale attend depuis plus un an le renouvellement de cette autorisation, mais la Commission « n'a pas encore lancé le processus », malgré l'avis favorable de l'EFSA, l'autorité européenne pour la sécurité des aliments.

« La Commission attend d'avoir un accord des Etats sur les règles pour la culture », a expliqué Frédéric Vincent.

« Le commissaire Dalli a dit à plusieurs reprises que la recherche fait partie de l'innovation et que l'Europe ne doit pas rester en marge de ce qui se fait dans le monde », a insisté son porte-parole.

« Il n'y a pas que de la production destinée à l'alimentation dans les OGM. La recherche porte également sur les arbres », a rappelé Frédéric Vincent.

La décision de BASF a été saluée par Greenpeace sur son compte tweeter comme une « victoire pour les consommateurs » et un « pas en avant pour le développement de biotechnologies sûres ».

Même motif de satisfaction pour les Amis de la Terre (Friends of the Earth Europe). « Un nouveau clou est planté dans le cercueil pour les aliments génétiquement modifiés en Europe. Personne ne veut les manger et peu d'agriculteurs veulent les cultiver », s'est félicité un représentant de l'ONG, Adrian Bebb, dans un communiqué.

vendredi 13 janvier 2012

Vive le Québec... coopératif!



Les coopératives du Québec font belle figure!
C'est aujourd'hui que le Canada lance ses festivités sur la reconnaissance du rôle des coopératives dans l'économie.
Parmi les 14 villes impliquées dans ce lancement, on retrouve Lévis, berceau du Mouvement Desjardins. Le Québec fait belle figure avec trois organisations dans le palmarès des 300 plus grandes coopératives à l’échelle mondiale, soit La Coop fédérée, Agropur et le Mouvement Desjardins.
Agroalimentaire
L’agroalimentaire contribue largement à l’importance économique de la formule coopérative. En termes de nombres, les coops de ce secteur arrivent au 2e rang de toutes celles des milieux non financiers avec 212 entités. Au chapitre de l’emploi, les coopératives agroalimentaires terminent premières, avec 50 % des emplois.
« Enfin, si l’analyse se fait par le biais de l’actif, le champion toutes catégories est le secteur agroalimentaire. À lui seul, il accapare 60,3 % des actifs des coopératives non financières. En fait, près de 50 % de ce que l’on trouve dans l’assiette des Québécois a été transformé dans une coopérative, résume Mme Noreau. De même, si l’on considère le chiffre d’affaires, c’est l’agroalimentaire qui se trouve en tête avec 82,5 % du total des coopératives non financières. »

mardi 10 janvier 2012

Hervé Morin à St Pourçain



Hervé Morin était donc à St Pourçain hier soir en réunion publique suivant une réunion privée à la mairie.
J’ai bien aimé l’homme et ses idées. Il est très simple, très abordable, et étant maire d’une commune de 1500 habitants nous a-t-il dit, réaliste des problèmes de société.
Il a justifié sa présence dans la course présidentielle par un positionnement au centre droit, affirmant que De Villepin et Boutin n’auraient pas leurs 500 signatures, il ne resterait que lui pour porter des idées de centre droit, avec un ralliement au second tour sur le candidat de droite et non comme Bayrou sur un probable report à gauche.
Son discours est clair, des idées simples mais efficaces, reflet d’un grand réalisme de la situation économique.
Il est conscient de sa capacité à rassembler sur son nom sans illusion, mais le discours que j’ai entendu ne fait aucun mal, voir me laisse à penser qu’il y a quelques hommes politiques d’envergure nationale épris de réalisme.

lundi 2 janvier 2012

Nouvelle année nouveau blog!

Depuis 2008 ce blog avait la même présentation. J'ai décidé de lui donner une nouvelle apparence et de nouvelles rubriques qui me tiennent à coeur.
2012 est l'année mondiale de la coopération décrétée par l'ONU, mettant en avant ce fabuleux système économique qu'est le travail coopératif.
Alors que nous sommes en pleine crise, non pas économique ni financière, mais plus encore de système économique, j'ai réalisé un petit mémoire sur le principe coopératif et ses immenses avantages.
N'hésitez pas à le lire, et me donner vos commentaires, c'est un peu long, mais c'est pour ceux que cela intéressent de modifier en profondeur notre façon de concevoir l'economie et les rapports humains avec l'argent.
Vous êtes très nombreux à me lire, je le vois dans les indices de fréquentation, mais n'hésitez pas à commenter, je suis parfois un peu provocateur, volontairement.
Bonne année à tous, vive 2012, l'espoir est devant nous!