dimanche 27 juillet 2025

Comment ne pas être en colère face à la manipulation à grande échelle autour de la pétition contre la loi Duplomb ?

 



Sur la forme, je connais très bien Laurent Duplomb, un agriculteur bien réel de la Haute-Loire, fils d’ouvrier, qui s’est construit tout seul, comme ceux que l’extrême gauche voudrait imposer à s’installer. Sauf que lui, c’est grâce à la FNSEA qu’il a réussi à faire prospérer son exploitation, qui aujourd’hui compte quatre exploitants familiaux. L’extrême gauche dit qu’il faut installer un million d’agriculteurs, mais il y a la place ! Qu’ils viennent, il y a des milliers de fermes à reprendre ! Mais qui acceptera de travailler 80 heures par semaine pour ne pas dépasser le SMIC ? Et je ne parle même pas de leur promotion de la « petite exploitation », où il faudrait travailler à la main, le dos courbé, comme au XIXe siècle. Tous ceux qui ont fait ce choix, aucun n’a tenu jusqu’à la retraite, ils ont tous jeté l’éponge avant.

Sur le fond, l’extrême gauche n’a pas permis le débat de la fameuse loi Duplomb à l’Assemblée nationale en la bloquant par des milliers d’amendements, et s’est empressée, à la sortie, de monter cette pétition, enrôlant de pauvres personnes peu informées, sans jugement ni culture scientifique, dans le seul but de semer le chaos.

Oui, la gauche et l’extrême gauche, que le « en même temps » de Macron a laissé exploser, ne cherchent que le chaos. Tout est prétexte à déstabiliser la République : cela passe par la violence, la désinformation, le prosélytisme, l’adhésion à des thèses mortifères telles que l’islamisme ou le fascisme. Rien n’a plus de valeur à leurs yeux que la vengeance d’une classe minoritaire sur toutes les autres. Et quoi de mieux que d’importer des guerres de religion lointaines avec leurs symboles, quoi de mieux que d’importer des immigrés sans instruction en leur offrant tout ce qu’il faut pour vivre, avec pour seul remerciement le vote pour ceux qui prônent la décroissance et le malthusianisme.

Je le répète, dans cette pétition, tous les arguments sont faux et ne servent qu’à monter les gens les uns contre les autres, à jouer sur leur peur et leur ignorance, leur faisant avaler n’importe quelle absurdité dont ils sont victimes malgré eux. Comment, avec un peu de bon sens, ne pas comprendre que l’épandage de quelques grammes d’insecticides biodégradables sur un hectare (10 000 m²) est bien moins dangereux que des litres d’insecticides vaporisés dans une pièce fermée de 15 m², respirés à pleins poumons par toute la famille ? Et pourtant, ces mêmes personnes signeront la pétition tout en respirant ces insecticides, ceux appliqués sur leurs animaux de compagnie, tout en consommant des médicaments dont la toxicité est mille fois plus élevée que l’épandage agricole. Car oui, les médicaments sont des pesticides ! Le terme « pesticide » vient de l’anglais et signifie « détruire les pestes ». Les pestes sont les maladies, celles des animaux comme des végétaux, et les médicaments sont là pour détruire ces pestes, donc ce sont des pesticides. D’ailleurs, pour lutter contre le cancer, ils sont complétés par des rayonnements issus du nucléaire, revenant aux travaux de Pierre et Marie Curie.

Mais l’extrême gauche et les écologistes s’en fichent, bien aidés par un bon nombre de journalistes incultes ou complices, véreux pour certains, dans le seul but de propager le chaos qui fait vendre du papier ou des minutes de publicité à la télévision.

Ils vont jusqu’à enrôler des chefs de restaurants proposant des menus très cancérigènes (friture, sel, poivre…), naturellement avec un bilan carbone déplorable, là aussi manipulés par un chef breton militant écologiste.

Ces extrémistes avancent comme seul argument que des alternatives existent, sans jamais prouver leur efficacité, telles que la permaculture ou l’agriculture biologique, qui s’effondrent en ce moment faute de débouchés à cause de prix trop élevés. Ils passent aussi sous silence l’utilisation de pesticides en agriculture biologique, comme la bouillie bordelaise, issue d’une réaction entre cuivre et acide chlorhydrique, ou le spinosad, un insecticide très toxique pour la faune, en particulier les abeilles. Oui, parce que les insectes mangent aussi les cultures bio !

Mais il existe bien sûr une vraie alternative : ne plus rien produire et importer notre alimentation sans se soucier des règles de production. Quand on sait que l’atrazine est toujours autorisée sur tout le continent américain alors qu’elle est interdite en Europe depuis 1997 ! C’est la même chose pour le fipronil, les hormones bovines et tant d’autres substances.

L’énergie pour lutter contre tout cela tend à diminuer, les hommes politiques fuient leurs responsabilités, l’école parfois gangrenée par le militantisme et le syndicalisme rémunéré diffuse la désinformation et tronque la vérité dans le seul but de propager, là aussi, le chaos. Quoi de mieux que d’inculquer à nos enfants des contre-vérités, ou de commencer à déformer leur façon de penser, pour en faire de bons révolutionnaires ?

Notre civilisation est en train de chuter, les bras solides viennent à manquer pour lutter, l’inversion des valeurs fait loi, la vengeance des extrêmes prospère dans le but de la détruire. Le socialisme a montré son imposture et son échec économique ; il ne reste que l’anarchie, qui n’a pas été essayée, peu importe si cela sera pire après. Seul compte le dogme destructeur.

La décroissance, le malthusianisme, l’anarchie, le chaos : désormais, seul compte la destruction du système, pour répondre aux thèses les plus violentes, affirmant que l’homme est néfaste à la planète et doit disparaître.

lundi 14 juillet 2025

Face à l'inversion des valeurs, ce 14 juillet un sursaut?

 

Il y a déjà plusieurs mois je dénonçais la crise sociétale dans laquelle notre pays s’enfonce et sans doute une partie de l’Europe avec.

Les partis extrêmes poussent à la radicalité, mais bien pire encore nous subissons une terrible inversion des valeurs qui font que le mal devient la référence et le bien une digression.

Voici quelques exemples d’actualité qui démontrent comment notre société part à la dérive.

Moscovici, premier président de la cour des comptes qui fait la morale à qui veut l’entendre sur l’état déplorable des finances de notre pays, des efforts que nous devrions faire, bien installé avec salaire exorbitant et cumul de retraites, alors qu’il a lui-même contribué considérablement à l’état dans lequel se trouve notre pays lorsqu’il était ministre socialiste des comptes publics, conseiller de plusieurs ministres et commissaire européen.

Bruno Lemaire élevé au grade d’officier de la légion d’honneur, sans doute pour avoir contribué comme ministre des finances à l’augmentation de la dette française de 1000 milliards d’Euros.  

Andy Kerbrat ce député LFI prit par la police en train d’acheter avec ses indemnités de député de la drogue à un mineur dans un métro parisien pour aller s’envoyer en l’air dans une partouze entre hommes qui fait le tour des plateaux TV pour reporter la faute sur la société qui n’arrive pas à le soigner de sa dépendance à la drogue.

La mère de Nahel, ce jeune mineur de 17 ans multirécidiviste tué par un policier lors d’un refus d’obtempérer après une course poursuite au volant d’un bolide volé dans les rues de la banlieue parisienne où il a manqué à plusieurs reprises de tuer des familles sur les voies publiques, qui voudrait la peine de mort pour le policier alors qu’elle avoue elle-même avoir pris couramment avec son fils des produits stupéfiants.

Les écologistes qui kidnappent les causes écologistes dans le seul but du marchand de peur afin d’imposer la décroissance à tous ceux qui voudraient essayer de s’en sortir par le progrès et le travail.

La CNDA, cette instance technocratique qui accorde à tous les gazaouis qui le souhaiteraient le statut de réfugiés en France alors qu’aucun pays arabe et musulman ne veut d’eux, ces soutiens au Hamas qui pour beaucoup ont participé au pogrom du 7 octobre 2023 et prêts à importer le terrorisme sur notre sol.

Tous ces députés LFI, dealers, fichés S, maris violents repris de justice, pédophiles qui paradent sur les rangs de l’Assemblée Nationale.

Rima Hassan cette député européenne LFI dont le père était dans l’armée de Bachar El Assad, française qui se dit bien plus attachée à la Palestine et à l’Algérie qu’à la France et qui modifie le tableau de Delacroix où on voit une Marianne aux seins nus guidant le peuple vers la liberté en y ajoutant un drapeau palestinien, comme une injure à la France.

Le droit des étrangers à bénéficier des soins et des aides sociales gratuitement alors qu’un français moyen non seulement paie des impôts mais n’a jamais la totalité de la gratuite des soins.

L’assistanat permanent de ceux qui abusent de notre système social au dépend de ceux qui travaillent dur pour payer cet assistanat en se privant parfois pour faire vivre leur famille.

Et plus près de nous ces permanents syndicalistes de gauche, payés par nos impôts pour organiser le chaos et les manifestations sur tout ce qui n’agrée pas leur philosophie de pensée, notamment la culture, parce toute culture qui n’est pas de gauche n’est pas de la culture.

Nous payons dans cette inversion des valeurs, l’arrivée de Mitterrand en 1981 et toute la lâcheté de ceux qui lui ont succédé les uns après les autres à ne pas différencier le bien du mal.

Je crains que cela ne puisse se résoudre par les urnes, je sens la colère monter, contre cette classe politique incapable de résoudre les problème, pire qui souvent l’aggrave.

La politique est impuissante, trop faible, trop lâche pour imposer les mesures qui s’imposent, la seule volonté de ne pas faire vague bloque toute action, pétrifie les actions, le courage manque, est absent dans toutes les décisions qui s’imposent.

Les gouvernements successifs ont laissé s’instiller une pensée pour laquelle distinguer le mal du bien est devenu disruptif, s’affaiblissant eux-mêmes, se privant de montrer la voie à suivre en laissant le tout permis, même le pire, être la norme.

Le policier condamné et le voleur en liberté, l’étranger imposant sa culture et le résidant sommé de l’accepter, le député fauteur de troubles s’affranchissant des lois tandis que l’honnête citoyen contraint de les respecter, l’assisté vivant mieux que le travailleur, ne peuvent qu’emmener à des réactions violentes dont la maitrise sera impossible puisque celle-ci ne sera plus une valeur cardinale.

C’est le symptôme même de la décadence, les signes annonciateurs de la fin d’une civilisation et comme toute fin ne pourra se faire que dans la douleur et la violence.

Alors… en ce jour de notre fête nationale, un sursaut ?