Il y a déjà plusieurs mois je dénonçais la crise
sociétale dans laquelle notre pays s’enfonce et sans doute une partie de l’Europe
avec.
Les partis extrêmes poussent à la radicalité, mais bien
pire encore nous subissons une terrible inversion des valeurs qui font que le
mal devient la référence et le bien une digression.
Voici quelques exemples d’actualité qui démontrent comment
notre société part à la dérive.
Moscovici, premier président de la cour des comptes qui fait
la morale à qui veut l’entendre sur l’état déplorable des finances de notre
pays, des efforts que nous devrions faire, bien installé avec salaire exorbitant
et cumul de retraites, alors qu’il a lui-même contribué considérablement à l’état
dans lequel se trouve notre pays lorsqu’il était ministre socialiste des
comptes publics, conseiller de plusieurs ministres et commissaire européen.
Bruno Lemaire élevé au grade d’officier de la légion d’honneur,
sans doute pour avoir contribué comme ministre des finances à l’augmentation de
la dette française de 1000 milliards d’Euros.
Andy Kerbrat ce député LFI prit par la police en train d’acheter
avec ses indemnités de député de la drogue à un mineur dans un métro parisien
pour aller s’envoyer en l’air dans une partouze entre hommes qui fait le tour
des plateaux TV pour reporter la faute sur la société qui n’arrive pas à le
soigner de sa dépendance à la drogue.
La mère de Nahel, ce jeune mineur de 17 ans multirécidiviste
tué par un policier lors d’un refus d’obtempérer après une course poursuite au
volant d’un bolide volé dans les rues de la banlieue parisienne où il a manqué
à plusieurs reprises de tuer des familles sur les voies publiques, qui voudrait
la peine de mort pour le policier alors qu’elle avoue elle-même avoir pris couramment
avec son fils des produits stupéfiants.
Les écologistes qui kidnappent les causes écologistes
dans le seul but du marchand de peur afin d’imposer la décroissance à tous ceux
qui voudraient essayer de s’en sortir par le progrès et le travail.
La CNDA, cette instance technocratique qui accorde à tous
les gazaouis qui le souhaiteraient le statut de réfugiés en France alors qu’aucun
pays arabe et musulman ne veut d’eux, ces soutiens au Hamas qui pour beaucoup
ont participé au pogrom du 7 octobre 2023 et prêts à importer le terrorisme sur
notre sol.
Tous ces députés LFI, dealers, fichés S, maris violents
repris de justice, pédophiles qui paradent sur les rangs de l’Assemblée
Nationale.
Rima Hassan cette député européenne LFI dont le père était
dans l’armée de Bachar El Assad, française qui se dit bien plus attachée à la
Palestine et à l’Algérie qu’à la France et qui modifie le tableau de Delacroix
où on voit une Marianne aux seins nus guidant le peuple vers la liberté en y
ajoutant un drapeau palestinien, comme une injure à la France.
Le droit des étrangers à bénéficier des soins et des
aides sociales gratuitement alors qu’un français moyen non seulement paie des
impôts mais n’a jamais la totalité de la gratuite des soins.
L’assistanat permanent de ceux qui abusent de notre
système social au dépend de ceux qui travaillent dur pour payer cet assistanat
en se privant parfois pour faire vivre leur famille.
Et plus près de nous ces permanents syndicalistes de
gauche, payés par nos impôts pour organiser le chaos et les manifestations sur
tout ce qui n’agrée pas leur philosophie de pensée, notamment la culture, parce
toute culture qui n’est pas de gauche n’est pas de la culture.
Nous payons dans cette inversion des valeurs, l’arrivée
de Mitterrand en 1981 et toute la lâcheté de ceux qui lui ont succédé les uns
après les autres à ne pas différencier le bien du mal.
Je crains que cela ne puisse se résoudre par les urnes,
je sens la colère monter, contre cette classe politique incapable de résoudre
les problème, pire qui souvent l’aggrave.
La politique est impuissante, trop faible, trop lâche
pour imposer les mesures qui s’imposent, la seule volonté de ne pas faire vague
bloque toute action, pétrifie les actions, le courage manque, est absent dans
toutes les décisions qui s’imposent.
Les gouvernements successifs ont laissé s’instiller une
pensée pour laquelle distinguer le mal du bien est devenu disruptif, s’affaiblissant
eux-mêmes, se privant de montrer la voie à suivre en laissant le tout permis,
même le pire, être la norme.
Le policier condamné et le voleur en liberté, l’étranger
imposant sa culture et le résidant sommé de l’accepter, le député fauteur de
troubles s’affranchissant des lois tandis que l’honnête citoyen contraint de
les respecter, l’assisté vivant mieux que le travailleur, ne peuvent qu’emmener
à des réactions violentes dont la maitrise sera impossible puisque celle-ci ne
sera plus une valeur cardinale.
C’est le symptôme même de la décadence, les signes
annonciateurs de la fin d’une civilisation et comme toute fin ne pourra se
faire que dans la douleur et la violence.
Alors… en ce jour de notre fête nationale, un sursaut ?