lundi 14 juillet 2025

Face à l'inversion des valeurs, ce 14 juillet un sursaut?

 

Il y a déjà plusieurs mois je dénonçais la crise sociétale dans laquelle notre pays s’enfonce et sans doute une partie de l’Europe avec.

Les partis extrêmes poussent à la radicalité, mais bien pire encore nous subissons une terrible inversion des valeurs qui font que le mal devient la référence et le bien une digression.

Voici quelques exemples d’actualité qui démontrent comment notre société part à la dérive.

Moscovici, premier président de la cour des comptes qui fait la morale à qui veut l’entendre sur l’état déplorable des finances de notre pays, des efforts que nous devrions faire, bien installé avec salaire exorbitant et cumul de retraites, alors qu’il a lui-même contribué considérablement à l’état dans lequel se trouve notre pays lorsqu’il était ministre socialiste des comptes publics, conseiller de plusieurs ministres et commissaire européen.

Bruno Lemaire élevé au grade d’officier de la légion d’honneur, sans doute pour avoir contribué comme ministre des finances à l’augmentation de la dette française de 1000 milliards d’Euros.  

Andy Kerbrat ce député LFI prit par la police en train d’acheter avec ses indemnités de député de la drogue à un mineur dans un métro parisien pour aller s’envoyer en l’air dans une partouze entre hommes qui fait le tour des plateaux TV pour reporter la faute sur la société qui n’arrive pas à le soigner de sa dépendance à la drogue.

La mère de Nahel, ce jeune mineur de 17 ans multirécidiviste tué par un policier lors d’un refus d’obtempérer après une course poursuite au volant d’un bolide volé dans les rues de la banlieue parisienne où il a manqué à plusieurs reprises de tuer des familles sur les voies publiques, qui voudrait la peine de mort pour le policier alors qu’elle avoue elle-même avoir pris couramment avec son fils des produits stupéfiants.

Les écologistes qui kidnappent les causes écologistes dans le seul but du marchand de peur afin d’imposer la décroissance à tous ceux qui voudraient essayer de s’en sortir par le progrès et le travail.

La CNDA, cette instance technocratique qui accorde à tous les gazaouis qui le souhaiteraient le statut de réfugiés en France alors qu’aucun pays arabe et musulman ne veut d’eux, ces soutiens au Hamas qui pour beaucoup ont participé au pogrom du 7 octobre 2023 et prêts à importer le terrorisme sur notre sol.

Tous ces députés LFI, dealers, fichés S, maris violents repris de justice, pédophiles qui paradent sur les rangs de l’Assemblée Nationale.

Rima Hassan cette député européenne LFI dont le père était dans l’armée de Bachar El Assad, française qui se dit bien plus attachée à la Palestine et à l’Algérie qu’à la France et qui modifie le tableau de Delacroix où on voit une Marianne aux seins nus guidant le peuple vers la liberté en y ajoutant un drapeau palestinien, comme une injure à la France.

Le droit des étrangers à bénéficier des soins et des aides sociales gratuitement alors qu’un français moyen non seulement paie des impôts mais n’a jamais la totalité de la gratuite des soins.

L’assistanat permanent de ceux qui abusent de notre système social au dépend de ceux qui travaillent dur pour payer cet assistanat en se privant parfois pour faire vivre leur famille.

Et plus près de nous ces permanents syndicalistes de gauche, payés par nos impôts pour organiser le chaos et les manifestations sur tout ce qui n’agrée pas leur philosophie de pensée, notamment la culture, parce toute culture qui n’est pas de gauche n’est pas de la culture.

Nous payons dans cette inversion des valeurs, l’arrivée de Mitterrand en 1981 et toute la lâcheté de ceux qui lui ont succédé les uns après les autres à ne pas différencier le bien du mal.

Je crains que cela ne puisse se résoudre par les urnes, je sens la colère monter, contre cette classe politique incapable de résoudre les problème, pire qui souvent l’aggrave.

La politique est impuissante, trop faible, trop lâche pour imposer les mesures qui s’imposent, la seule volonté de ne pas faire vague bloque toute action, pétrifie les actions, le courage manque, est absent dans toutes les décisions qui s’imposent.

Les gouvernements successifs ont laissé s’instiller une pensée pour laquelle distinguer le mal du bien est devenu disruptif, s’affaiblissant eux-mêmes, se privant de montrer la voie à suivre en laissant le tout permis, même le pire, être la norme.

Le policier condamné et le voleur en liberté, l’étranger imposant sa culture et le résidant sommé de l’accepter, le député fauteur de troubles s’affranchissant des lois tandis que l’honnête citoyen contraint de les respecter, l’assisté vivant mieux que le travailleur, ne peuvent qu’emmener à des réactions violentes dont la maitrise sera impossible puisque celle-ci ne sera plus une valeur cardinale.

C’est le symptôme même de la décadence, les signes annonciateurs de la fin d’une civilisation et comme toute fin ne pourra se faire que dans la douleur et la violence.

Alors… en ce jour de notre fête nationale, un sursaut ?