Un rapport récent du Conseil Interacadémique (IAC en anglais) Britannique met en exergue un fonctionnement « lacunaire » du GIEC à tous les niveaux du traitement des sources à la communication, en passant par la prise en compte des opinions scientifiques divergentes, la prévention et le règlement des conflits d'intérêts, la transparence sur les données factuelles retenues, etc.
L’IAC est la quintessence de la science mondiale, dont le rapport émane de douze scientifiques dont deux font partie du GIEC et un autre sera consulté lors de la création du 5e rapport du GIEC.
L’IAC appelle à une réforme radicale du fonctionnement du GIEC, et notamment invite les experts à s’en tenir à l’aspect scientifique du climat en laissant de côté l’aspect politique. Le rapport met en évidence un mélange des genres où les scientifiques émettent des avis et recommandations qui appartiennent aux politiques. Les sages dénoncent aussi la partialité de certains membres du GIEC pouvant être juges et parties dans plusieurs organisations, notamment sources de financement pour le GIEC.
Cette douche froide de la part d’un conseil scientifique de réputation mondiale, doit amener à plus de réflexion tous ceux qui ne voyant que par le GIEC, d’écoute moins unanime de celui-ci et surtout un fonctionnement moins dogmatique de cet organisme.
Claude Allègre aurait il raison ?
L’IAC est la quintessence de la science mondiale, dont le rapport émane de douze scientifiques dont deux font partie du GIEC et un autre sera consulté lors de la création du 5e rapport du GIEC.
L’IAC appelle à une réforme radicale du fonctionnement du GIEC, et notamment invite les experts à s’en tenir à l’aspect scientifique du climat en laissant de côté l’aspect politique. Le rapport met en évidence un mélange des genres où les scientifiques émettent des avis et recommandations qui appartiennent aux politiques. Les sages dénoncent aussi la partialité de certains membres du GIEC pouvant être juges et parties dans plusieurs organisations, notamment sources de financement pour le GIEC.
Cette douche froide de la part d’un conseil scientifique de réputation mondiale, doit amener à plus de réflexion tous ceux qui ne voyant que par le GIEC, d’écoute moins unanime de celui-ci et surtout un fonctionnement moins dogmatique de cet organisme.
Claude Allègre aurait il raison ?
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