Le PS va mourir ? non il est mort ! telle est la déclaration de BHL dans une tribune sur un site Internet. Si seulement cela pouvait être vrai… Mais je crois que oui ! Que reste t’il de ce parti dont les courants et les hommes qui les représentent n’ont que de grâce à se torpiller les uns les autres. Mitterrand n’a jamais réglé sa succession, et tout comme dans une famille dont le patriarche n’aurait pas « fait ses affaires » ses enfants guerroient pour le partage de l’héritage, qui dans le cas présent est la quête du pouvoir.
Car le problème est bien là, il ne s’agit en aucune manière de défendre des idées de gauche, mais pour les héritiers de Mitterrand, la bataille est celle de celui qui s’imposera dans la quête de l’investiture à l’élection Présidentielle.
Pour se faire chaque prétendant, tel un navigateur, cherche le vent qui le portera à la victoire. Et ces vents peuvent êtres antagonistes, car pour certains ils soufflent de l’extrême gauche et d’autres du centre droit. Chacun pensant que le vent choisit réunira autour de lui une majorité.
Le problème du Parti Socialiste est donc bien là, aucun leader capable de souffler lui-même le vent de la victoire et de fédérer autour de lui un parti homogène, en ordre de marche, réunissant des intelligences qui permettent de créer des idées neuves pour la société.
C’est d’ailleurs très regrettable qu’en France n’existe plus aucun parti d’opposition capable de gouverner, car une démocratie a besoin d’opposition afin que les élus au pouvoir ne se croient pas tout permis.
Mais la France appartient à ces pays latins qui ne réussissent dans les batailles politiques que si à leur tête s’impose un leader au contraire des pays anglo-saxons, dont les partis perdurent et font émerger ce leader. Depuis que les démocraties existent en occident cette règle s’impose sans faille. En Grande Bretagne ou aux USA , deux partis s’affrontent depuis toujours quels que soient les hommes qui prennent le pouvoir. En France en Italie ou en Espagne les partis se créent explosent ou implosent au gré des leaders. La SFIO de Guy Mollet, le PS de Mitterrand, le PC de Marchais, Ligue Ouvrière de Laguiller, l’UDR de De Gaulle, le RPR de Chirac, l’UMP de Sarkozy, l’UDF de Giscard etc…
Mais jamais aucun parti n’a survécu à la disparition physique ou politique de son leader.Le Parti Socialiste devrait le comprendre, et les femmes et hommes qui se réclament encore d’une gauche de gouvernement, devraient se rassembler et recréer un nouveau parti, ou plus exactement un homme ou une femme charismatique doit s’imposer à tous en fédérant les idées de gauche avec lui. Mais cet homme est il né ? Je ne crois pas du tout en Fabius, DSK, Royal, Hollande, Delanoé, Aubry, ce sont tous les héritiers de Mitterrand. Par contre Valls, Hamon, pourquoi pas, mais vite !
Car le problème est bien là, il ne s’agit en aucune manière de défendre des idées de gauche, mais pour les héritiers de Mitterrand, la bataille est celle de celui qui s’imposera dans la quête de l’investiture à l’élection Présidentielle.
Pour se faire chaque prétendant, tel un navigateur, cherche le vent qui le portera à la victoire. Et ces vents peuvent êtres antagonistes, car pour certains ils soufflent de l’extrême gauche et d’autres du centre droit. Chacun pensant que le vent choisit réunira autour de lui une majorité.
Le problème du Parti Socialiste est donc bien là, aucun leader capable de souffler lui-même le vent de la victoire et de fédérer autour de lui un parti homogène, en ordre de marche, réunissant des intelligences qui permettent de créer des idées neuves pour la société.
C’est d’ailleurs très regrettable qu’en France n’existe plus aucun parti d’opposition capable de gouverner, car une démocratie a besoin d’opposition afin que les élus au pouvoir ne se croient pas tout permis.
Mais la France appartient à ces pays latins qui ne réussissent dans les batailles politiques que si à leur tête s’impose un leader au contraire des pays anglo-saxons, dont les partis perdurent et font émerger ce leader. Depuis que les démocraties existent en occident cette règle s’impose sans faille. En Grande Bretagne ou aux USA , deux partis s’affrontent depuis toujours quels que soient les hommes qui prennent le pouvoir. En France en Italie ou en Espagne les partis se créent explosent ou implosent au gré des leaders. La SFIO de Guy Mollet, le PS de Mitterrand, le PC de Marchais, Ligue Ouvrière de Laguiller, l’UDR de De Gaulle, le RPR de Chirac, l’UMP de Sarkozy, l’UDF de Giscard etc…
Mais jamais aucun parti n’a survécu à la disparition physique ou politique de son leader.Le Parti Socialiste devrait le comprendre, et les femmes et hommes qui se réclament encore d’une gauche de gouvernement, devraient se rassembler et recréer un nouveau parti, ou plus exactement un homme ou une femme charismatique doit s’imposer à tous en fédérant les idées de gauche avec lui. Mais cet homme est il né ? Je ne crois pas du tout en Fabius, DSK, Royal, Hollande, Delanoé, Aubry, ce sont tous les héritiers de Mitterrand. Par contre Valls, Hamon, pourquoi pas, mais vite !