Lorsque le libre choix est proposé aux agriculteurs, ils choisissent majoritairement le maïs Ogm. Expérience portugaise.
Les agriculteurs portugais plébiscitent les biotechnologies végétales. Les surfaces cultivées en variétés Ogm ont augmenté de 330% en 2007 par rapport à 2006 et en 2007, le ministère de l’agriculture a enregistré des cultures Ogm sur 43% des surfaces générales. Un développement permis par la législation obtenue par la Portugal auprès de l’Union européenne (voir article). Aussi, l’intervention de Paula Carvalho, du service des semences, variétés et ressources génétiques du Ministère de l’agriculture portugais a particulièrement retenu l’attention des congressistes lors du colloque Pioneer "Biotechnologies végétales" (*). « Nous avons voulu offrir le libre choix aux éleveurs. Mais leur option est claire. En 2007, nous avons reconnu 11 zones dédiées aux cultures Ogm et à ce jour, seulement seule zone exempte d’Ogm a été officiellement reconnue par le gouvernement portugais. La coexistence est libre chez nous avec des niveaux de contamination insignifiants : inférieurs à 0,4% quand le seuil maximal autorisé est de 0,9%. »
Evolution des surfaces consacrées à la culture du maïs OGM au Portugal(© Ministère de l'agriculture Portugal)
Selon une enquête conduite par le ministère de l’agriculture auprès des agriculteurs qui ont choisi de cultiver des plants Ogm, 76% de ceux qui ont semé des variétés Ogm pour la première fois en 2007 le font pour contrôler les attaques des insectes foreurs. 90% des agricultures portugais témoignent rencontrer des difficultés à contrôler les attaques des parasites constatant jusqu’à 3 générations d’attaques pour cycle de culture et une moyenne de 1,7 génération. Cette situation conduisait à réaliser 1,6 traitement par culture avec un maximum de 5. 69% des semeurs de maïs Ogm ont constaté une augmentation des rendements et 86% une amélioration dans la qualité de la récolte. Enfin 75% de ceux qui ont commencé veulent continuer. Si aujourd’hui seulement le monsanto 810 est autorisé, 6 autres événements déjà autorisés en Espagne pourraient bénéficier d’autorisations au Portugal.
Les agriculteurs portugais plébiscitent les biotechnologies végétales. Les surfaces cultivées en variétés Ogm ont augmenté de 330% en 2007 par rapport à 2006 et en 2007, le ministère de l’agriculture a enregistré des cultures Ogm sur 43% des surfaces générales. Un développement permis par la législation obtenue par la Portugal auprès de l’Union européenne (voir article). Aussi, l’intervention de Paula Carvalho, du service des semences, variétés et ressources génétiques du Ministère de l’agriculture portugais a particulièrement retenu l’attention des congressistes lors du colloque Pioneer "Biotechnologies végétales" (*). « Nous avons voulu offrir le libre choix aux éleveurs. Mais leur option est claire. En 2007, nous avons reconnu 11 zones dédiées aux cultures Ogm et à ce jour, seulement seule zone exempte d’Ogm a été officiellement reconnue par le gouvernement portugais. La coexistence est libre chez nous avec des niveaux de contamination insignifiants : inférieurs à 0,4% quand le seuil maximal autorisé est de 0,9%. »
Evolution des surfaces consacrées à la culture du maïs OGM au Portugal(© Ministère de l'agriculture Portugal)
Selon une enquête conduite par le ministère de l’agriculture auprès des agriculteurs qui ont choisi de cultiver des plants Ogm, 76% de ceux qui ont semé des variétés Ogm pour la première fois en 2007 le font pour contrôler les attaques des insectes foreurs. 90% des agricultures portugais témoignent rencontrer des difficultés à contrôler les attaques des parasites constatant jusqu’à 3 générations d’attaques pour cycle de culture et une moyenne de 1,7 génération. Cette situation conduisait à réaliser 1,6 traitement par culture avec un maximum de 5. 69% des semeurs de maïs Ogm ont constaté une augmentation des rendements et 86% une amélioration dans la qualité de la récolte. Enfin 75% de ceux qui ont commencé veulent continuer. Si aujourd’hui seulement le monsanto 810 est autorisé, 6 autres événements déjà autorisés en Espagne pourraient bénéficier d’autorisations au Portugal.
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