Notre pays s’enfonce petit à petit dans une grave crise de dépérissement sur lui-même au point demain de devenir le vassal inerte d’autres puissances actives, d’une identité perdue. Les deux dernières guerres mondiales sur notre sol ont affaibli notre pays vis-à-vis de l’extérieur mais a affaibli les Français dans leur propre pays. Le pouvoir du Général De Gaulle en homme historique providentiel a temporisé le déclin durant les 30 années qui ont suivi sa gouvernance, a même redonné un peu de richesse aux français, mais l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981 n’a fait que favoriser une perte de puissance inéluctable. La gauche a emmené avec elle la déconsidération du travail, l’affaiblissement de la politique familiale et la repentance de l’oppression des peuples des années de colonisation. Nous payons et nous allons payer de plus en plus cher ces trois composantes et les alternances politiques n’y ont rien changé car affaiblies par ce sentiment gauchisant partagé par tous les courants politiques.
La déconsidération du travail avec le passage aux 35h est la carricature de ce qu’il fallait éviter, aucun pays n’a repris cette mesure de façon généralisée, le sentiment devenait qu’il était possible de travailler moins en gagnant autant. Le chômage de masse est devenu la normale avec une indemnisation équivalente au travail actif et même supérieure si on additionne les aides sociales devenues des droits et des acquis. En clair il devient plus intéressant de ne plus travailler que l’inverse, faisant supporter par ceux de moins en moins nombreux résignés à travailler et devenant seul à porter les faibles profits nécessaires à subvenir pour ceux qui ne travaillent pas. C’est le début de la porte ouverte à la fraude de masse, puisqu’il n’y a plus de contrepartie aux aides sociales et chacun peut piocher dans la caisse avec un faible risque de se faire prendre. La croissance absente, le PIB en berne, c’est l’emprunt qui assure les recettes en face des dépenses, jusqu’à ce que la charge de la dette représente 60% des richesses créées. Les gouvernements Macron sont l’apothéose du système puisque désormais chaque problème se règle par un chèque, une dépense gérée par une cohorte de fonctionnaires et une dette qui explose. Une dette qu’il faudra rembourser, en argent, en biens nationaux ou en dépendance économique.
La France était la championne de la natalité en Europe, jusqu’à ce que la gauche supprime les aides aux familles, la famille devenant le cadre de la jouissance de la vie immédiate sans se soucier de l’avenir. L’intérêt de constituer une famille n’existe plus, la vie de couple ne sert plus qu’à jouir de l’instant présent et l’amour permettant de peu la procréation à ceux de moins en moins nombreux qui pensent que l’avenir passe par le renouvellement des générations. La baisse de la natalité est bien sûr la raison de la baisse de la croissance économique et la baisse du nombre de travailleurs pour payer la retraite de ceux qui vieillissent au point de devenir de moins en moins supportable.
La France des droits de l’homme a été dévoyée jusqu’à devenir la France terre d’asile pour tous ceux qui ont compris que notre pays était prêt à partager ses richesses économiques au prix de la perte de ses richesses culturelles. Une immigration de masse a changé le paradigme culturel de la France, construite sur ses racines judéo-chrétiennes, jusqu’à supporter un nouveau fascisme religieux devenu un courant politique de gauche de manière ouverte ou sous couvert d’écologie qui n’est qu’une partie d’un courant politique décroissant. Ce courant politique multiforme va de la gauche sociale-démocrate, on pourrait presque dire centriste, jusqu’à l’extrême gauche cherchant à justifier les actes les plus extrêmes, les attentats, par la libération d’une oppression capitalistique.
L’école de la République est depuis 1981 livrée à elle-même, vérolée par ces mêmes courant de gauche pour lesquels il est interdit d’interdire, gérée par un pouvoir central aux antipodes des réalités du terrain, sous prétexte que l’enseignement doit être le même sur tout le territoire français à une époque où le monde du travail est mondial et les élèves continuent leurs études dans différents pays étrangers. L’école a perdu le pouvoir de la transmission de la connaissance et si elle maintien à vouloir appliquer un programme national, elle subit les pressions locales jusqu’à la mort au point de ne plus pouvoir enseigner comme il le convient, notre histoire, nos valeurs et accessoirement les bases des connaissances qui serviront à une vie professionnelle. Les actes les plus séditieux se nourrissent de l’inculture, du manque de connaissance jusqu’aux députés reflets de la société oubliant que le fascisme, la nazisme, l’antisémitisme et l’islamisme sont les valeurs communes de la guerre, la violence et des dictatures les plus cruelles qu’ils soutiennent.
Aussi, si nous le voulons les solutions bien que leurs effets viendront dans un futur lointain, même prises de façon immédiates, passeront par une libéralisation totale du travail, la suppression du statut de fonctionnaire qui ne sert qu’à multiplier son nombre en complète consanguinité et l’impossibilité pour un fonctionnaire de prendre le moindre mandat politique. Il y a beaucoup à dire sur le cumul des mandats mais le pire et pourtant jamais cité, est celui de pouvoir cumuler un statut de fonctionnaire à celui d’élu, la meilleure façon de prendre des décisions sans soucis de l’éventuelle sanction électorale. La libéralisation du travail passe par une seule règle fixant un minima lié à la richesse du pays, tout le reste devenant caduque, on le voit aujourd’hui le manque de travailleurs leur donne un pouvoir considérable face au patronat. Les aides sociales devront être assorties à la nationalité française, avec un minimum de temps de travail effectif antérieur et une contrepartie en activité. Evidemment l’immigration comme en Amérique du Nord, en Australie ou au Japon qui sont loin d’être des dictatures devra être choisie et quantifiée. Les codes et normes en tout genre qui sucent le sang de la croissance devront être divisées par trois dans un premier temps et toute nouvelle norme devra être assortie de la suppression d’une ancienne. La natalité devra devenir la politique la plus dynamique possible en favorisant financièrement les familles nombreuses, en les aidant sur toute la durée jusqu’à l’émancipation des enfants, allant jusqu’à donner un statut aux parents par leur rôle.
Enfin l’école devra être reprise en main par le pouvoir politique démocratiquement. L’école n’est pas une ile qui vit seule au milieu de l’océan de la société et détachée d’elle, le corps enseignant est payé avec les impôts des citoyens, il a des comptes à leur rendre, les enseignants doivent être formés, nombreux, protégés mais en application de programmes décidés par l’Assemblée Nationale et non par d’obscures commissions, en laissant la plus grande liberté aux enseignants dans un cadre généraliste, surtout capables d’enseigner à la jeunesse toute l’histoire de l’humanité sans tabou et les connaissances acquises dans tous les domaines à transmettre. La démocratie ce n’est pas donner le pouvoir des électeurs à des agences ou des commissions mais exercer soit même le pouvoir et prendre les décisions au plus près des actions. L’école comme la santé devra supprimer dans son fonctionnement tous ceux qui n’enseignent pas ou ne soignent pas et grâce à un pouvoir décentralisé les décisions seront toutes prises y compris dans la hiérarchie au niveau le plus local possible, car le plus proche de la réalité.
J’écoute déjà tous ceux qui ne veulent que rien ne change
et qui vont trouver tous les prétextes, les références historiques, les
amalgames pour démontrer que leur conservatisme doit être le plus fort et que l’avenir
du pays passe bien après leur propre intérêt personnel ou corporatiste.
Tout a été essayé dans la planification jusqu’à l’infantilisation
de notre société, alors pour ceux à qui la France veut encore dire quelque
chose, ceux qui sont attachés à nos valeurs, notre survie passe par un
changement total de notre vision de la société, une libération complète des
énergies et à ceux qui veulent que la France continue à être généreuse et mère
des droits de l’homme, cela ne sera possible que grâce à une France forte et
debout !
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