Emmanuel Ferrand
dimanche 31 août 2025
mercredi 27 août 2025
Bayrou et Macron doivent partir.
François Bayrou: 74 ans, rentre en politique en 1974 dans
différents cabinets ministériels, élu député en 1986, ministre depuis 1993,
candidat à l'élection présidentielle depuis 2002, s'est toujours opposé aux
candidats de la droite républicaine lors des élections présidentielles sans
soutenir ceux de gauche, a permis l'élection d'Emmanuel Macron, a été son
ministre, a largement influencé ses différentes politiques depuis 2017, puis
l'a forcé à devenir son premier ministre. Depuis 50 ans qu'il navigue dans les
sphères du pouvoir on peut raisonnablement penser qu'il a joué un rôle dans la
situation dans laquelle nous sommes et on aurait pu lui faire crédit d'un
sursaut de lucidité s'il avait pu un tant soit peu commencer de rétablir la
situation de la France dans son dernier poste. Ses propositions budgétaires
sont mauvaises car elles n'entament en rien les dépenses de fonctionnement de
l'Etat qui sont les principales sources de rétablissement budgétaires de la
France.
La France croule sous les agences, organisations d’Etat
consommant des crédits sans apporter aucune richesse à la France ni à ceux qui
qui ont à faire à elles et pour être cohérent il faut aussi supprimer deux
tiers des réglementations qui justifient le rôle de ces agences, il faut
redonner de la liberté à ceux qui travaillent, de la liberté aux français.
C'est cette politique que nous avons mis en œuvre en 2015
lors de notre élection à la Région Auvergne-Rhône-Alpes sous la présidence de
Laurent Wauquiez, la Région est à l'échelle d'un petit pays, telle l’Irlande,
la Belgique ou la Suisse et nous avons prouvé aujourd'hui que cela pouvait
marcher. François Bayrou fait aveu d'impuissance, il n'est pas utile de perdre
davantage de temps, il faut qu'il parte, ses 44 milliards d'économies sont un
traitement homéopathique pour traiter un cancer.
La classe politique nationale n’a pas prit la mesure du
problème et par peur du soulèvement des minorités attisées par les partis extrémistes,
sont tétanisés face aux actions à mettre en place. Ils sous-estiment l’immense
majorité qui a soif de la mise en œuvre de mesures économiques radicales.
Et jusque dans l’Etat il faut redonner aux professionnels le
pouvoir, c’est aux médecins à diriger les hôpitaux par exemple et il faut
supprimer le corpus administratif qui les entoure.
Si nous voulons trouver les ressorts du rétablissement il
faudra aussi qu'Emmanuel Macron parte. Il est responsable de la situation dans
laquelle nous sommes, il a même empiré la situation dans laquelle il a trouvé
la France, cela me gêne car c'est contraire à la constitution du Général
Degaulle à laquelle je suis très attaché, cela créé un précédent, mais dès 2017
j'avais prédit (et écrit) ce que nous vivons aujourd'hui, sous peine d'être mis
sous tutelle par les instances financières internationales, il faut redonner la
voix au peuple pour des élections présidentielles et générales.
Emmanuel Macron est le pur fruit d’une élite formée à
administrer la France dans l’esprit du Général Degaulle, mais pas à la
gouverner. Comme pour l’armée je suis pour interdire l’accession à des mandats
politiques, sauf démission après une période obligatoire minimum, des grands
commis de l’Etat, on ne peut être juge et partie.
Je m'élève fortement contre le fait que cette situation soit
la faute des Français, elle est le résultat de la médiocrité des mêmes hommes
politiques au pouvoir depuis 40 ans et le résultat systématique d'un vote par
défaut des Français à chaque élection.
L’accession de Macron au pouvoir suprême n’a servi qu’à faire
monter les partis extrémistes et populistes, gouverner au centre n’est pas l’esprit
de la Ve république, c’est là qu’on voit qu’on peut être instruit et faire de
mauvaises analyses basiques.
Je suis favorable au cumul des mandats dans le temps en
contrepartie d'un allègement du cumul des mandats par fonction, ce qui
permettra par force un renouvellement plus rapide des générations d'hommes
politiques d'expérience, un quota maximum de représentation des fonctionnaires
ou assimilés au parlement et une ouverture forte à la société civile, homme ou femme politique n'est pas une profession!. Je pense
qu'il faut redonner la parole à ceux qui travaillent, ceux qui enrichissent la
France et à ceux qui aiment leur pays.
vendredi 8 août 2025
Les agriculteurs, ces koulaks modernes
Quand l’actualité s’entrechoque et ressert les plats de l’histoire contemporaine.
Qui a entendu parler des koulaks ? Certainement pas les deux millions de signataires de la pétition contre la loi Duplomb, dont la culture générale s’arrête à TikTok ou Instagram, seules sources de leur apprentissage historique, auxquelles ils font toute confiance pour avaler les influences et les fausses idées servant l’idéologie décroissante.
Les koulaks, ces paysans russes exterminés après la révolution de 1917, avaient pour la plupart le « défaut » d’être propriétaires d’une ou quelques vaches, d’un peu de basse-cour et de quelques lopins de terre, dont ils tiraient, au prix d’heures infinies de labeur, quelques revenus et l’avantage de nourrir le reste de la population. En résumé : d’affreux capitalistes.
Ainsi, au nom du socialisme et de la collectivisation, ils furent expropriés et, pour les plus réticents, tués avec leur famille. Ils devinrent les boucs émissaires d’une société pauvre qui voyait en eux une honteuse richesse. Ceux qui avaient fui les campagnes pour grossir les villes formèrent une classe prolétaire nourrissant une jalousie qui mena à la révolution.
Politiquement, et bien que le vote ne soit pas une pratique courante à l’époque, les koulaks étaient plutôt des gens fidèles à la religion chrétienne et qui auraient pu voter à droite.
Entre 1928 et 1937, l’URSS procéda à la « dékoulakisation » afin de construire d’immenses kolkhozes collectifs. Il s’ensuivit des famines à répétition, dont la plus violente en 1932, particulièrement en Ukraine, qui reste le grenier à blé de l’Europe.
Les historiens ont bien documenté toute la puissance néfaste d’une politique dogmatique, déconnectée de la réalité économique.
L’agriculture française est en train de subir les mêmes effets, pour les mêmes raisons. La battaille contre la loi Duplomb et tout ce qui l’entoure sont un excellent révélateur d’une idéologie décroissante qui s’acharne sur une profession — une population — ayant encore une fois le désavantage de posséder du capital et de voter majoritairement à droite, comme l’attestent les récentes élections professionnelles.
Le problème est très loin d’être agricole, scientifique ou environnemental. Les forces de gauche radicale se moquent éperdument de ces aspects. Ce qui compte à leurs yeux, c’est la destruction de notre société, car, selon elles, l’homme est néfaste à la planète et doit disparaître. Semer le chaos en prenant fait et cause pour l’islamisme en est un moyen ; exploiter le marché de la peur et taper sur les agriculteurs, très minoritaires et votant à droite, surtout avec le ventre plein, est une tâche facile.
Pourtant, cette agriculture n’a cessé d’accompagner l’augmentation de la population en la nourrissant toujours mieux, tout en lui permettant d’allonger sa durée de vie. Tout ce qu’on ne pourra plus produire en France, au fur et à mesure de la restriction des moyens techniques, sera toujours produit ailleurs, par des agriculteurs du bout du monde. Ni l’environnement ni notre santé n’en sortiront gagnants.
Pire encore : tous les produits interdits petit à petit aux agriculteurs professionnels formés restent en vente libre pour les particuliers. C’est là la caricature d’un acharnement : supprimer des outils aux professionnels agricoles tout en gardant le bénéfice de leur efficacité pour le confort personnel, surtout en ville. C’est exactement comme si l’on interdisait l’utilisation du clavier d’un ordinateur pour des raisons professionnelles, en faisant peur sur sa nocivité pour la santé, tout en permettant son usage à titre personnel pour surfer sur les réseaux sociaux.
Petit à petit, les agriculteurs disparaissent, surtout dans les zones difficiles à exploiter. Ainsi, dans les régions défavorisées, l’agriculture recule, l’activité de production disparaît, les cultures gourmandes en temps et en peine sont supprimées, le pastoralisme est abandonné au profit du loup — totem environnemental —, les désherbants sont interdits, et des « réserves naturelles » sont créées. En réalité, ce sont des sanctuaires où la faune animale est prioritaire sur l’activité humaine.
Il en résulte ce que l’on vient de voir dans l’Aude : des incendies gigantesques, incontrôlables, favorisés par la végétation sèche prête à s’embraser à la moindre étincelle, aggravés par le dérèglement climatique. S’ensuivront inondations et coulées de boue, faute de cultures ou de nature entretenue pour retenir les pluies.
L’extrême gauche, toujours prompte à se saisir de toute cause pour faire peur, utilisera alors le prétexte du dérèglement climatique pour expliquer aussi bien les incendies que les inondations, en prônant encore moins d’activité humaine, jusqu’à prouver, par un malthusianisme exacerbé, que l’homme doit disparaître. Elle tempêtera également contre les fermetures d’usines, conséquences de la destruction des filières agricoles, sans voir le rapport de cause à effet. La stratégie reste identique : faire peur et dénoncer toujours, en accusant l’homme et son système d’exploiter les ressources naturelles.
Les agriculteurs sont les koulaks d’aujourd’hui. Les méthodes d’extermination sont moins brutales : on ne les tue pas, on ne les enferme pas, mais on les laisse dépérir à petit feu, se suicider, on leur retire leurs moyens de production, et donc leurs revenus. Ils sont devenus les boucs émissaires d’une société qui masque ses contradictions et sa schizophrénie derrière la stigmatisation d’une minorité laborieuse.
Lors de la prochaine famine — qui viendra inévitablement —, on se souviendra qu’avant les écologistes au ventre plein, il y avait des agriculteurs, des koulaks… et que tous mangeaient à leur faim.
dimanche 27 juillet 2025
Comment ne pas être en colère face à la manipulation à grande échelle autour de la pétition contre la loi Duplomb ?
Sur la forme, je connais très bien Laurent
Duplomb, un agriculteur bien réel de la Haute-Loire, fils d’ouvrier, qui s’est
construit tout seul, comme ceux que l’extrême gauche voudrait imposer à
s’installer. Sauf que lui, c’est grâce à la FNSEA qu’il a réussi à faire
prospérer son exploitation, qui aujourd’hui compte quatre exploitants
familiaux. L’extrême gauche dit qu’il faut installer un million d’agriculteurs,
mais il y a la place ! Qu’ils viennent, il y a des milliers de fermes à
reprendre ! Mais qui acceptera de travailler 80 heures par semaine pour ne pas
dépasser le SMIC ? Et je ne parle même pas de leur promotion de la « petite
exploitation », où il faudrait travailler à la main, le dos courbé, comme au
XIXe siècle. Tous ceux qui ont fait ce choix, aucun n’a tenu jusqu’à la
retraite, ils ont tous jeté l’éponge avant.
Sur le fond, l’extrême gauche n’a pas permis le
débat de la fameuse loi Duplomb à l’Assemblée nationale en la bloquant par des
milliers d’amendements, et s’est empressée, à la sortie, de monter cette
pétition, enrôlant de pauvres personnes peu informées, sans jugement ni culture
scientifique, dans le seul but de semer le chaos.
Oui, la gauche et l’extrême gauche, que le « en
même temps » de Macron a laissé exploser, ne cherchent que le chaos. Tout est
prétexte à déstabiliser la République : cela passe par la violence, la
désinformation, le prosélytisme, l’adhésion à des thèses mortifères telles que
l’islamisme ou le fascisme. Rien n’a plus de valeur à leurs yeux que la
vengeance d’une classe minoritaire sur toutes les autres. Et quoi de mieux que
d’importer des guerres de religion lointaines avec leurs symboles, quoi de
mieux que d’importer des immigrés sans instruction en leur offrant tout ce
qu’il faut pour vivre, avec pour seul remerciement le vote pour ceux qui
prônent la décroissance et le malthusianisme.
Je le répète, dans cette pétition, tous les
arguments sont faux et ne servent qu’à monter les gens les uns contre les
autres, à jouer sur leur peur et leur ignorance, leur faisant avaler n’importe
quelle absurdité dont ils sont victimes malgré eux. Comment, avec un peu de bon
sens, ne pas comprendre que l’épandage de quelques grammes d’insecticides
biodégradables sur un hectare (10 000 m²) est bien moins dangereux que des
litres d’insecticides vaporisés dans une pièce fermée de 15 m², respirés à
pleins poumons par toute la famille ? Et pourtant, ces mêmes personnes
signeront la pétition tout en respirant ces insecticides, ceux appliqués sur
leurs animaux de compagnie, tout en consommant des médicaments dont la toxicité
est mille fois plus élevée que l’épandage agricole. Car oui, les médicaments
sont des pesticides ! Le terme « pesticide » vient de l’anglais et signifie «
détruire les pestes ». Les pestes sont les maladies, celles des animaux comme
des végétaux, et les médicaments sont là pour détruire ces pestes, donc ce sont
des pesticides. D’ailleurs, pour lutter contre le cancer, ils sont complétés
par des rayonnements issus du nucléaire, revenant aux travaux de Pierre et
Marie Curie.
Mais l’extrême gauche et les écologistes s’en
fichent, bien aidés par un bon nombre de journalistes incultes ou complices,
véreux pour certains, dans le seul but de propager le chaos qui fait vendre du
papier ou des minutes de publicité à la télévision.
Ils vont jusqu’à enrôler des chefs de restaurants
proposant des menus très cancérigènes (friture, sel, poivre…), naturellement
avec un bilan carbone déplorable, là aussi manipulés par un chef breton
militant écologiste.
Ces extrémistes avancent comme seul argument que
des alternatives existent, sans jamais prouver leur efficacité, telles que la
permaculture ou l’agriculture biologique, qui s’effondrent en ce moment faute
de débouchés à cause de prix trop élevés. Ils passent aussi sous silence
l’utilisation de pesticides en agriculture biologique, comme la bouillie
bordelaise, issue d’une réaction entre cuivre et acide chlorhydrique, ou le
spinosad, un insecticide très toxique pour la faune, en particulier les
abeilles. Oui, parce que les insectes mangent aussi les cultures bio !
Mais il existe bien sûr une vraie alternative :
ne plus rien produire et importer notre alimentation sans se soucier des règles
de production. Quand on sait que l’atrazine est toujours autorisée sur tout le
continent américain alors qu’elle est interdite en Europe depuis 1997 ! C’est
la même chose pour le fipronil, les hormones bovines et tant d’autres
substances.
L’énergie pour lutter contre tout cela tend à
diminuer, les hommes politiques fuient leurs responsabilités, l’école parfois
gangrenée par le militantisme et le syndicalisme rémunéré diffuse la
désinformation et tronque la vérité dans le seul but de propager, là aussi, le
chaos. Quoi de mieux que d’inculquer à nos enfants des contre-vérités, ou de
commencer à déformer leur façon de penser, pour en faire de bons
révolutionnaires ?
Notre civilisation est en train de chuter, les
bras solides viennent à manquer pour lutter, l’inversion des valeurs fait loi,
la vengeance des extrêmes prospère dans le but de la détruire. Le socialisme a
montré son imposture et son échec économique ; il ne reste que l’anarchie, qui
n’a pas été essayée, peu importe si cela sera pire après. Seul compte le dogme
destructeur.
La décroissance, le malthusianisme, l’anarchie,
le chaos : désormais, seul compte la destruction du système, pour répondre aux
thèses les plus violentes, affirmant que l’homme est néfaste à la planète et
doit disparaître.
lundi 14 juillet 2025
Face à l'inversion des valeurs, ce 14 juillet un sursaut?
Il y a déjà plusieurs mois je dénonçais la crise
sociétale dans laquelle notre pays s’enfonce et sans doute une partie de l’Europe
avec.
Les partis extrêmes poussent à la radicalité, mais bien
pire encore nous subissons une terrible inversion des valeurs qui font que le
mal devient la référence et le bien une digression.
Voici quelques exemples d’actualité qui démontrent comment
notre société part à la dérive.
Moscovici, premier président de la cour des comptes qui fait
la morale à qui veut l’entendre sur l’état déplorable des finances de notre
pays, des efforts que nous devrions faire, bien installé avec salaire exorbitant
et cumul de retraites, alors qu’il a lui-même contribué considérablement à l’état
dans lequel se trouve notre pays lorsqu’il était ministre socialiste des
comptes publics, conseiller de plusieurs ministres et commissaire européen.
Bruno Lemaire élevé au grade d’officier de la légion d’honneur,
sans doute pour avoir contribué comme ministre des finances à l’augmentation de
la dette française de 1000 milliards d’Euros.
Andy Kerbrat ce député LFI prit par la police en train d’acheter
avec ses indemnités de député de la drogue à un mineur dans un métro parisien
pour aller s’envoyer en l’air dans une partouze entre hommes qui fait le tour
des plateaux TV pour reporter la faute sur la société qui n’arrive pas à le
soigner de sa dépendance à la drogue.
La mère de Nahel, ce jeune mineur de 17 ans multirécidiviste
tué par un policier lors d’un refus d’obtempérer après une course poursuite au
volant d’un bolide volé dans les rues de la banlieue parisienne où il a manqué
à plusieurs reprises de tuer des familles sur les voies publiques, qui voudrait
la peine de mort pour le policier alors qu’elle avoue elle-même avoir pris couramment
avec son fils des produits stupéfiants.
Les écologistes qui kidnappent les causes écologistes
dans le seul but du marchand de peur afin d’imposer la décroissance à tous ceux
qui voudraient essayer de s’en sortir par le progrès et le travail.
La CNDA, cette instance technocratique qui accorde à tous
les gazaouis qui le souhaiteraient le statut de réfugiés en France alors qu’aucun
pays arabe et musulman ne veut d’eux, ces soutiens au Hamas qui pour beaucoup
ont participé au pogrom du 7 octobre 2023 et prêts à importer le terrorisme sur
notre sol.
Tous ces députés LFI, dealers, fichés S, maris violents
repris de justice, pédophiles qui paradent sur les rangs de l’Assemblée
Nationale.
Rima Hassan cette député européenne LFI dont le père était
dans l’armée de Bachar El Assad, française qui se dit bien plus attachée à la
Palestine et à l’Algérie qu’à la France et qui modifie le tableau de Delacroix
où on voit une Marianne aux seins nus guidant le peuple vers la liberté en y
ajoutant un drapeau palestinien, comme une injure à la France.
Le droit des étrangers à bénéficier des soins et des
aides sociales gratuitement alors qu’un français moyen non seulement paie des
impôts mais n’a jamais la totalité de la gratuite des soins.
L’assistanat permanent de ceux qui abusent de notre
système social au dépend de ceux qui travaillent dur pour payer cet assistanat
en se privant parfois pour faire vivre leur famille.
Et plus près de nous ces permanents syndicalistes de
gauche, payés par nos impôts pour organiser le chaos et les manifestations sur
tout ce qui n’agrée pas leur philosophie de pensée, notamment la culture, parce
toute culture qui n’est pas de gauche n’est pas de la culture.
Nous payons dans cette inversion des valeurs, l’arrivée
de Mitterrand en 1981 et toute la lâcheté de ceux qui lui ont succédé les uns
après les autres à ne pas différencier le bien du mal.
Je crains que cela ne puisse se résoudre par les urnes,
je sens la colère monter, contre cette classe politique incapable de résoudre
les problème, pire qui souvent l’aggrave.
La politique est impuissante, trop faible, trop lâche
pour imposer les mesures qui s’imposent, la seule volonté de ne pas faire vague
bloque toute action, pétrifie les actions, le courage manque, est absent dans
toutes les décisions qui s’imposent.
Les gouvernements successifs ont laissé s’instiller une
pensée pour laquelle distinguer le mal du bien est devenu disruptif, s’affaiblissant
eux-mêmes, se privant de montrer la voie à suivre en laissant le tout permis,
même le pire, être la norme.
Le policier condamné et le voleur en liberté, l’étranger
imposant sa culture et le résidant sommé de l’accepter, le député fauteur de
troubles s’affranchissant des lois tandis que l’honnête citoyen contraint de
les respecter, l’assisté vivant mieux que le travailleur, ne peuvent qu’emmener
à des réactions violentes dont la maitrise sera impossible puisque celle-ci ne
sera plus une valeur cardinale.
C’est le symptôme même de la décadence, les signes
annonciateurs de la fin d’une civilisation et comme toute fin ne pourra se
faire que dans la douleur et la violence.
Alors… en ce jour de notre fête nationale, un sursaut ?
lundi 30 juin 2025
dimanche 1 juin 2025
jeudi 8 mai 2025
Mon discours à l'occasion du 80e anniversaire de la victoire de la seconde guerre mondiale
Discours du
8 mai 2025
Cérémonie
commémorative du 80ème anniversaire de la victoire du 8 mai 1945
Mesdames, Messieurs,
Il y a 80 ans, jour pour jour, la France et les Alliés l’emportaient sur l’Allemagne nazie après la capitulation totale du Troisième Reich. Le 8 mai 1945, la reddition de l’armée Allemande était signée, mettant fin aux combats partout en Europe, et clôturant alors l’une des périodes les plus sombres de notre Histoire. C’est cette date qui nous réunit aujourd’hui, comme chaque année, pour rendre hommage aux millions de victimes de la Seconde Guerre Mondiale dont de nombreux Saint-Pourcinois.
Du 8 mai 1945 à aujourd’hui, en l’espace de 80 ans, l’humanité a été confrontée à d’innombrable drames et conflits. Mais aucun d’eux n’aura jamais été plus violent, plus sanglant, plus effroyable et plus meurtrier que la Seconde Guerre Mondiale. Cette guerre totale a causé des dizaines de millions de victimes civiles et militaires dans le monde, prises au piège entre les combats et les bombardements ou broyées durant l’occupation allemande, japonaise et italienne. En France, ce sont près de 600 000 françaises et français qui ont péris entre 1939 et 1945, victimes des combats, de la déportation, de la torture ou de la famine.
Célébrer la victoire du 8 mai 1945, s’est rendre hommage à toutes ces victimes de la guerre et des massacres du nazisme, mais aussi à toutes les personnes qui se sont battues pour ramener la paix en Europe. Des résistants et soldats des forces alliées, qui ne sont autres que des hommes et des femmes de tous les jours ayant pris les armes pour défendre et sauver la liberté. N’oublions pas leur courage et leur dévouement.
Pourtant, 80 ans plus tard, que dire de notre société actuelle et du monde dans lequel nous vivons. Sur tous les continents, des conflits font rages et ne cessent de menacer la stabilité de l’Europe tout entière. Les guerres en Ukraine ou au Proche-Orient, toujours plus violentes et sanguinaires, continuent de causer leurs milliers de morts, de blessés et de déplacés. Et partout ailleurs, dans tous les pays, des leaders extrémistes et belliqueux émergent et mettent en péril chaque jour un peu plus la paix dans le Monde.
Mais surtout, les maux et idéologies qui ont conduit à la Seconde Guerre Mondiale sont aujourd’hui profondément ancrés en Europe et dans notre pays. L’antisémitisme est même devenu une des lignes politiques de l’extrême gauche au service de l’islamisme, proliférant grâce à la connivence électorale de la gauche tout entière, menaçant les fondements même de notre démocratie. Ces menaces, moins visibles mais tout aussi dangereuses que les bombes et les armes, mettent en périls notre République, tant qu’il en est encore temps réveillez-vous !
En ce jour, il est donc de notre devoir de continuer à faire vivre les principes de la démocratie, ces mêmes principes qui ont été sauvés il y a 80 ans. Combattons le fascisme, l’antisémitisme, les extrêmes et toutes les formes de haines entre les hommes pour faire en sorte qu’aucun citoyen français ne connaisse la guerre, ni aujourd’hui, ni demain.
Vive la Paix,
Vive la République, Vive la France !
dimanche 27 avril 2025
Mon discours à l'occasion de la journée nationale du souvenir des victimes et héros de la déportation
Mesdames et messieurs,
Georges Politzer, Jacques Solomon, Hélène Solomon-Langevin, Marcel Rayman, Henri Krasucki, sont tous des femmes et des hommes célèbres militants au sein du Parti Communiste Français et/ou cadre à la CGT ayant été déportés dans les camps de Auschwitz puis Buchenwald.
Comment Serge Klarsfeld célèbre pour ses traques envers
les anciens nazis ayant joué un rôle dans la déportation des juifs durant la
seconde guerre mondiale peut-il ouvertement dire que le RN et l’extrême droite
protègent aujourd’hui mieux les juifs que l’extrême gauche ?
Comment le PCF et la gauche tout entière peut-elle
s’associer et cautionner dans les urnes des candidats de l’extrême gauche appartenant
à un parti multipliant les déclarations antisémites pour faire le lit de
l’islamisme ?
Comment 80 ans après les horreurs dont nous portons le souvenir aujourd’hui, certains peuvent-ils réchauffer les plats rances des boucs émissaires et nous les resservir pour capter un électorat enclin à la destruction des mécréants, qu’ils soient juifs, chrétiens, athées, laïcs, femmes, journalistes ou simples citoyens ?
Faut-il donc sans cesse que l’histoire se répète avec
toujours une doctrine ou une religion dont le suffixe en isme, fanatisme,
fondamentalisme, totalitarisme, n’aurait pour seul but l’éradication des
diversités ?
Faut-il donc que les militants renient leur passé, leur
histoire et leurs figures historiques pour favoriser l’inverse même de ce qui a
fait leur genèse ?
Faut-il que la nonchalance, l’ignorance voire la
complaisance sur de petits arrangements électoraux permettent aux idées les plus
sombres de revenir par la porte de service du calcul politique ?
Les extrêmes, tous les extrêmes n’ont semé que guerres et
génocides de peuples entiers, souvent par leurs propres dirigeants sans
mansuétude aucune.
Il faut donc combattre tous ceux qui aujourd’hui et demain favorisent la montée des extrêmes directement et même pire indirectement par un consensus aussi impuissant que consentant.
Les déportés dont nous avons cité les noms tout à l’heure
doivent à tout jamais nous rappeler jusque dans nos décisions quotidiennes,
jusque dans nos votes et nos orientations politiques, qu’ils ont été la
vengeance et le fruit de l’horreur et que nous ne devons jamais oublier
pourquoi ils ont été déportés et pour la plupart jamais revenus.
Merci de votre présence aujourd’hui, mais surtout je vous
encourage à être dès à présent des résistants, des résistants contre les idées,
les paroles et les actes de tous ceux qui veulent imposer par-dessus la
démocratie et notre république, les « ismes » de leurs causes
abjectes.
Vive la République, Vive la France !