jeudi 11 août 2011

Nous ne sommes pas au bout!

Nous ne sommes pas assez loin dans cette crise économique qui secoue la planète. Il faut que tout le système explose et il faut donc que la chute des bourses aille jusqu’à son terme, c’est à dire la mise en faillite des états endettés.
Des hommes depuis trop longtemps se sont permis de jouer avec la finance, par la spéculation, non pas au service de la croissance et de l’entreprise, mais juste pour des profits faciles et juteux.
A capital égal, quel paradoxe entre un chef d’entreprise faisant travailler des salariés et des moyens de production avec une marge d’à peine 2% et un spéculateur boursier tout seul dans son bureau avec un ordinateur et un téléphone avec une rémunération de plus de 15%.
L’argent ne doit pas être un but mais un moyen ! L’argent est un outil au service des hommes pour leur permettre de vivre décemment et être une règle, un étalon pour récompenser la valeur des hommes sans excès. Il est normal que quelqu’un qui dispose de compétences ou qui travaille davantage gagne plus que celui qui n’en dispose pas ou ne fait rien.
Mais il faut mettre un plancher c’est ce qu’on appelle la solidarité et surtout des plafonds, car quel que soit le brillant d'un homme, il ne vaut jamais des millions de fois plus que celui de la base. Surtout lorsque c’est un footballeur qui tape dans un ballon 4 heures par jour…
C’est donc tout un système économique, politique et social qu’il faut remettre en place. Le communisme et le marxisme ont montré leur aberrance. Le capitalisme a montré ses limites et ses excès. Il faut donc construire un modèle économique basé sur la liberté d’entreprendre, l’encouragement à produire, une plus grande liberté de travail avec des limites, même si celles-ci sont éloignées.
Chaque homme doit avoir sa chance, doit être motivé par le meilleur et l’excellence, doit être récompensé pour ses efforts, sans excès ni dans un sens ni dans l’autre.Il faut pour cela que le moteur économique qui fonctionne aujourd’hui explose !

1 commentaire:

  1. Vous aussi, vous faites parti des rêveurs ou( peut-être ) .... des visionnaires ... Qui sait ?

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