L’eau sera sans nul doute l’enjeu des siècles à venir, et son utilisation devra être le défi majeur de notre humanité.
Tandis que quelques pauvres bougres dépensent leur énergie en France et seulement en France contre le rallongement de la durée du temps de travail, d’autres hommes dans le monde réfléchissent sur le thème de l’eau dans le monde notamment au sein de la FAO et de l’ONU.
L’eau sera un enjeu quantitatif et qualitatif.
Quantitatif dans les régions arides tel le moyen orient, ce qui est pour une très large part de responsabilité dans les conflits régionaux, et l’Afrique dont l’homme accentue la désertification par la surexploitation des ressources naturelles comme notamment le bois.
Mais d’autres régions ne sont pas à l’abri de difficultés majeures, tels les USA dont une nappe des plus gigantesque au monde, l’équivalent de la surface de la France sur des dizaines de mètres de profondeur, la nappe Ogallala, a servi à la prospérité de l’agriculture de pas moins de 8 états qui arrive à épuisement replaçant le désert là où il était auparavant.
Qualitatif dans les régions occidentales et asiatiques, qui par l’industrialisation, la consommation des biens d’équipement, la médicalisation à outrance et le besoin de nourriture bon marché salissent et polluent les ressources naturellement présentes.
Alors bien sur l’eau ne manque pas sur terre puisque 97% de la surface de la terre en est recouverte, mais elle est aussi à 85% salée…
Cet enjeu nécessitera une prise de conscience de l’humanité et des prises de mesures parfois impopulaires. Sur la quantité il faudra inévitablement passer par des économies drastiques surtout dans les régions où elle manque, et pour faire face à l’augmentation de population, l’utilisation des plantes génétiquement modifiées résistantes à la sécheresse. Cela passera aussi par le stockage lors des périodes de pluies. En effet à l’échelle de la planète l’eau ne disparaît pas, simplement elle se déplace en quantité plus ou moins importante ce qui créé inondations ou sécheresse.
Du point de vue qualitatif la conscience est maintenant acquise à toutes les mesures évitant la pollution, mais aussi à la dépollution. Il faudra sans doute aussi penser à la désalinisation de l’eau.
Dans tous les cas l’utilisation de l’eau va coûter plus cher, beaucoup plus cher, il faut s’y préparer, en avoir conscience et savoir demain faire des choix. L’eau est essentielle à la vie et tant d’autres choses bien plus onéreuses et bien moins nécessaires ne le sont pas !
Tandis que quelques pauvres bougres dépensent leur énergie en France et seulement en France contre le rallongement de la durée du temps de travail, d’autres hommes dans le monde réfléchissent sur le thème de l’eau dans le monde notamment au sein de la FAO et de l’ONU.
L’eau sera un enjeu quantitatif et qualitatif.
Quantitatif dans les régions arides tel le moyen orient, ce qui est pour une très large part de responsabilité dans les conflits régionaux, et l’Afrique dont l’homme accentue la désertification par la surexploitation des ressources naturelles comme notamment le bois.
Mais d’autres régions ne sont pas à l’abri de difficultés majeures, tels les USA dont une nappe des plus gigantesque au monde, l’équivalent de la surface de la France sur des dizaines de mètres de profondeur, la nappe Ogallala, a servi à la prospérité de l’agriculture de pas moins de 8 états qui arrive à épuisement replaçant le désert là où il était auparavant.
Qualitatif dans les régions occidentales et asiatiques, qui par l’industrialisation, la consommation des biens d’équipement, la médicalisation à outrance et le besoin de nourriture bon marché salissent et polluent les ressources naturellement présentes.
Alors bien sur l’eau ne manque pas sur terre puisque 97% de la surface de la terre en est recouverte, mais elle est aussi à 85% salée…
Cet enjeu nécessitera une prise de conscience de l’humanité et des prises de mesures parfois impopulaires. Sur la quantité il faudra inévitablement passer par des économies drastiques surtout dans les régions où elle manque, et pour faire face à l’augmentation de population, l’utilisation des plantes génétiquement modifiées résistantes à la sécheresse. Cela passera aussi par le stockage lors des périodes de pluies. En effet à l’échelle de la planète l’eau ne disparaît pas, simplement elle se déplace en quantité plus ou moins importante ce qui créé inondations ou sécheresse.
Du point de vue qualitatif la conscience est maintenant acquise à toutes les mesures évitant la pollution, mais aussi à la dépollution. Il faudra sans doute aussi penser à la désalinisation de l’eau.
Dans tous les cas l’utilisation de l’eau va coûter plus cher, beaucoup plus cher, il faut s’y préparer, en avoir conscience et savoir demain faire des choix. L’eau est essentielle à la vie et tant d’autres choses bien plus onéreuses et bien moins nécessaires ne le sont pas !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire