Cette campagne présidentielle se termine comme elle a
commencé c'est-à-dire imprévisible.
La France est dans une situation économique
catastrophique dans laquelle entreprendre est devenu coupable, travailler est
un gros mot mais où des intérêts particuliers tirent des ficelles pour garder
des privilèges s’appuyant sur un sentiment de vengeance des commentateurs
nationaux.
L’attentat d’hier soir sur les Champs-Elysées démontre
que le pouvoir en place depuis 5 ans n’a rien fait pour arranger les choses
dans ce domaine, incapable au niveau international de s’allier entre grandes
puissances militaires pour éradiquer l’islamisme intégriste ni même sur notre
sol pour protéger nos concitoyens. A tous ceux qui pourraient me taxer de
récupération je répondrai qu’on juge ceux qui dirigent à leur capacité à régler
les crises, que leur mandat ne tient qu’à leurs réussites ou leurs échecs, même
si ce jugement doit se faire à l’apogée de l’une d’elle.
On ne règlera pas un problème d’extrémisme religieux par
des extrémistes politiques, le résultat ne peut que s’empirer par la surenchère
permanente. On ne réglera pas des années d’inconstance économique par des
solutions à l’eau tiède et sans remise à plat des fondamentaux économiques.
On ne réglera pas la somme accumulée des problèmes
rencontrés depuis des dizaines d’années par l’élection d’un président de la
république sans expérience s’appuyant sur une majorité d’élus « Internet »
n’ayant jamais exercé de mandat politique ni même ayant eut d’expérience dans
la conduite d’un pays ou d’une collectivité.
Ce serait inévitablement laisser le pouvoir au
fonctionnement en place, c'est-à-dire aux hauts fonctionnaires d’Etat qui n’ont
pour seule mission de continuer à gérer sans rien changer au gré de majorités
instables.
François Fillon n’est pas le candidat que je soutien par
passion comme je l’ai fait pour Nicolas Sarkozy en 2007. Moi qui m’attache à ne
rien devoir personnellement aux collectivités dont je participe à la gestion,
dont mes mandats me coûtent plus qu’ils ne me rapportent, j’ai été troublé
par le comportement de François Fillon, mais je devais être comme beaucoup à
vouloir voir en lui un saint alors qu’il n’est qu’un homme.
Par raison, par expérience de la vie politique locale,
parce que je sais que réformer à quel niveau que ce soit est difficile, que d’abattre
les intérêts particulier au profit de l’intérêt général est une tâche harassante,
seul à la fin le résultat compte et je
ne veux pas en 2022 retrouver mon pays comme le laisse François Hollande en
2017.
Alors oui je voterai François Fillon au premier tour de l’élection
présidentielle prochaine et j’appelle tous ceux et celles qui me font confiance
et qui approuvent mes actions dans la vie politique à me suivre et faire de
même.
tu as raison ,François Fillon est le seul ayant la stature présidentielle et qui as un programme qui tiens la route.Les affaires qui le concerne sont surtout un coup monté de toutes pièces(c'est tellement gros )nos médiats peuvent mettre en valeur une personne et aussi l'abattre si elle n'est pas dans leur ligne politique.
RépondreSupprimerRC
Bonjour Mr Ferrand , je cherche à vous contacter suite à un entretien que j'ai eu avec Marcel Kuntz, auriez vous une adresse e-mail sur laquelle je puisse vous envoyer un message plus détaillé , merci par avance
RépondreSupprimerThierry Merckling - Uniagro Rhone Alpes
thierry.merckling@orange.fr