Notre déficit commercial du commerce extérieur accuse un déficit pour 2011 de près de 70 milliards d’Euros soit une augmentation de plus 37% par rapport à 2010.
Et contrairement à toutes les idées préconçues ce n’est pas avec les pays émergents que ce déficit se creuse, mais avec les pays de l’Europe.
C’est clairement un manque de compétitivité vis-à-vis des autres pays qui pénalise nos échanges, et c’est donc forcément un déficit induit de production pour nos entreprises.
La réalité est sans contestation possible par les chiffres du chômage : 9,8% pour la France, 5,5% pour l’Allemagne.
Il est très clair que nos partenaires européens produisent plus et à moins cher et par conséquent nous inondent de leur production.
Le secteur économique le plus performant en matière de balance commercial est le secteur agroalimentaire. Avec une augmentation de plus de 15% par rapport en 2010 il atteint un solde positif record de 11,5 milliards d’Euro. C’est le deuxième secteur bénéficiaire derrière l’aéronautique. Mais l’agroalimentaire est le premier secteur et de très loin en terme de contribution à l’amélioration des échanges avec +8% ! Le grand perdant est évidement l’énergie représentant un déficit de 62 milliards, mais aussi l’automobile avec un déficit de 8 milliards, l’habillement accusant un déficit de près de 12 milliards, sans parler de tous les produits manufacturés.
Alors cette agriculture vilipendée, montrée du doigt, accusée de tous les maux de la terre en matière d’environnement, outre le fait de permettre de nous nourrir sainement, assure un emploi pour près de 2 millions de français et rapporte à la France des finances pour payer le déficit creusé par ailleurs.
Et malgré cela l’agroalimentaire française est passée au deuxième rang européen derrière l’Allemagne, du à un coût de main d’œuvre qui permet au allemands de produire moins cher les produits transformés agricoles.
Sans l’agroalimentaire et l’aéronautique, tous les secteurs économiques français seraient en déficit sur les échanges commerciaux.
L’agroalimentaire est une chance pour la France, et un atout économique incontestable. Notre futur président doit donc tout mettre en œuvre pour soutenir l’agriculture et ses agriculteurs en commençant par alléger les contraintes qui pèsent sur eux, que ce soit dans le domaine environnemental et administratif et combattre l’urbanisation consommatrice de terres fertiles agricoles.
L’agriculture rapporte non seulement à notre pays mais est le seul secteur économique non délocalisable, l’agriculture est un atout pour la France, protégeons là !
Et contrairement à toutes les idées préconçues ce n’est pas avec les pays émergents que ce déficit se creuse, mais avec les pays de l’Europe.
C’est clairement un manque de compétitivité vis-à-vis des autres pays qui pénalise nos échanges, et c’est donc forcément un déficit induit de production pour nos entreprises.
La réalité est sans contestation possible par les chiffres du chômage : 9,8% pour la France, 5,5% pour l’Allemagne.
Il est très clair que nos partenaires européens produisent plus et à moins cher et par conséquent nous inondent de leur production.
Le secteur économique le plus performant en matière de balance commercial est le secteur agroalimentaire. Avec une augmentation de plus de 15% par rapport en 2010 il atteint un solde positif record de 11,5 milliards d’Euro. C’est le deuxième secteur bénéficiaire derrière l’aéronautique. Mais l’agroalimentaire est le premier secteur et de très loin en terme de contribution à l’amélioration des échanges avec +8% ! Le grand perdant est évidement l’énergie représentant un déficit de 62 milliards, mais aussi l’automobile avec un déficit de 8 milliards, l’habillement accusant un déficit de près de 12 milliards, sans parler de tous les produits manufacturés.
Alors cette agriculture vilipendée, montrée du doigt, accusée de tous les maux de la terre en matière d’environnement, outre le fait de permettre de nous nourrir sainement, assure un emploi pour près de 2 millions de français et rapporte à la France des finances pour payer le déficit creusé par ailleurs.
Et malgré cela l’agroalimentaire française est passée au deuxième rang européen derrière l’Allemagne, du à un coût de main d’œuvre qui permet au allemands de produire moins cher les produits transformés agricoles.
Sans l’agroalimentaire et l’aéronautique, tous les secteurs économiques français seraient en déficit sur les échanges commerciaux.
L’agroalimentaire est une chance pour la France, et un atout économique incontestable. Notre futur président doit donc tout mettre en œuvre pour soutenir l’agriculture et ses agriculteurs en commençant par alléger les contraintes qui pèsent sur eux, que ce soit dans le domaine environnemental et administratif et combattre l’urbanisation consommatrice de terres fertiles agricoles.
L’agriculture rapporte non seulement à notre pays mais est le seul secteur économique non délocalisable, l’agriculture est un atout pour la France, protégeons là !
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