Le ministère de l’agriculture américain vient d’homologuer à la vente un maïs génétiquement amélioré résistant à la sécheresse, produit par la firme Monsanto.
Cela attire deux réflexions de ma part. La première c’est qu’il est prouvé désormais que les OGM n’ont pas que le but d’enrichir les firmes semencières, bien qu’il faille qu’elles rentabilisent les énormes coûts de recherche, et que l’amélioration des plantes a pour but de les adapter très rapidement aux conditions pédoclimatiques des différents endroits de la planète. De la même manière que le riz a pu être modifié pour amener davantage de vitamines, la pomme de terre davantage d’amidon, voilà une plante résistante au manque d’eau. C’est une très grande avancée pour l’amélioration des plantes qui pourront pousser là où la population est la plus nombreuse.
La deuxième réflexion c’est encore une firme américaine, et qui plus est Monsanto, qui découvre cette plante et qui encore un peu plus va détenir le monopole de la recherche et de ses applications. Outre le fait que cela lui rapporte de l’argent, et les fonds de pension qui sont derrières, c’est la clé du vivant et de la nourriture des hommes que cette firme détient. C’est naturel puisque seule cette firme dispose des moyens financiers pour cette recherche fort coûteuse. Elle est de plus largement aidée dans sa tâche par le refus des européens d’engager des recherches dans ce secteur, contrés par une poignée de militants obscurantistes ayant une vision du moyen age.
Il faudra sans doute attendre, là comme dans d’autres secteurs, la bienveillance des chinois et leur imposante recherche en biotechnologie pour apporter de la concurrence en faisant fi des brevets internationaux. Au passage les OGM chinois seront comme les jouets, avec sans doute quelques malfaçons de temps à autre, les chinois n’ayant pas pour habitude de s’embêter avec les procédures.
L’Europe et particulièrement la France avec une recherche en agriculture et biotechnologie la plus performante des années 1970 à 2000, laisse passer le train de la recherche sous la pression politique de quelques uns dont les principaux moyens de communication pour mener à bien ses actions sont le téléphone portable et Internet, fruits de la recherche …… américaine !
Cela attire deux réflexions de ma part. La première c’est qu’il est prouvé désormais que les OGM n’ont pas que le but d’enrichir les firmes semencières, bien qu’il faille qu’elles rentabilisent les énormes coûts de recherche, et que l’amélioration des plantes a pour but de les adapter très rapidement aux conditions pédoclimatiques des différents endroits de la planète. De la même manière que le riz a pu être modifié pour amener davantage de vitamines, la pomme de terre davantage d’amidon, voilà une plante résistante au manque d’eau. C’est une très grande avancée pour l’amélioration des plantes qui pourront pousser là où la population est la plus nombreuse.
La deuxième réflexion c’est encore une firme américaine, et qui plus est Monsanto, qui découvre cette plante et qui encore un peu plus va détenir le monopole de la recherche et de ses applications. Outre le fait que cela lui rapporte de l’argent, et les fonds de pension qui sont derrières, c’est la clé du vivant et de la nourriture des hommes que cette firme détient. C’est naturel puisque seule cette firme dispose des moyens financiers pour cette recherche fort coûteuse. Elle est de plus largement aidée dans sa tâche par le refus des européens d’engager des recherches dans ce secteur, contrés par une poignée de militants obscurantistes ayant une vision du moyen age.
Il faudra sans doute attendre, là comme dans d’autres secteurs, la bienveillance des chinois et leur imposante recherche en biotechnologie pour apporter de la concurrence en faisant fi des brevets internationaux. Au passage les OGM chinois seront comme les jouets, avec sans doute quelques malfaçons de temps à autre, les chinois n’ayant pas pour habitude de s’embêter avec les procédures.
L’Europe et particulièrement la France avec une recherche en agriculture et biotechnologie la plus performante des années 1970 à 2000, laisse passer le train de la recherche sous la pression politique de quelques uns dont les principaux moyens de communication pour mener à bien ses actions sont le téléphone portable et Internet, fruits de la recherche …… américaine !
Enfin une plante pour nourrir le tiers monde ??? Ou un OGM de plus pour engraisser les cochons occidentaux ...
RépondreSupprimerCe maïs étant adapté aux conditions de culture des USA la réponse est évidente.
L'Europe est en train de laisser passer le train du progrès et laisse filer les américains en tête.Nous le regretterons amèrement dans quelques années lorsque nous devrons importer des semences de plantes génétiquement modifiées en payant le prix fort.
RépondreSupprimerEn interdisant les OGM sur notre territoire, le gouvernement français fait un énorme cadeau aux 3 % des agriculteurs bio et tire une balle dans le pied des 97 % agriculteurs qui pouvaient compter sur ces innovations pour améliorer leur compétitivité.Pauvre France! On n'est pas sorti de l'auberge avec des politiques aussi peureux qui gouvernent à coup de principe de précaution et de sondages.