A l’heure où les économies vacillent, où si bien le capitalisme que le collectivisme ont fait la preuve de leur échec, où il faut réinventer une nouvelle façon de vivre ensemble sur d’autres bases économiques, il existe peut être un système qui a fait ses preuves depuis une centaine d’année, mais qui est resté à l’état micro-économique.
Je ne suis pas en train de vous proposer une économie utopiste, qui nécessiterait de tout détruire et de refaire un monde nouveau. Je laisse cela aux rêveurs qui veulent un monde sans argent, sans loi, sans règle.
Je vous propose un système économique où l’argent est un moyen et non un but, où le dynamisme est récompensé, où la solidarité existe, où la démocratie exerce pleinement les orientations politiques.
Cela s’appelle le système coopératif. Il a été très largement employé en agriculture et a permit la révolution agricole du XXe siècle, et aujourd’hui 40% de l’agriculture et de l’agroalimentaire passe par le système coopératif. La coopération ce sont les bienfaits du capitalisme et les avantages du collectivisme. Chaque performeur peut gagner davantage et les moins chanceux ne sont pas laissés sur le bord de la route, et tout ceci par une décision collective où un homme égale une voix, quel que soit son rôle économique.
Les entreprises peuvent fonctionner sous ce système, mais bien au-delà c’est la macroéconomie qui peut fonctionner par ce principe.
Plus de rapports conflictuels entre patron et ouvriers, entre élus et électeurs. Le patron garde son capital qu’il met à disposition de la coopérative et cette dernière le rémunère au taux du marché et il reste propriétaire. Il exerce alors une place de dirigeant dont la rémunération est décidée par l’assemblée générale. Par contre la spéculation devient dans ce système complètement impossible car par définition les parts sociales ne sont pas commercialisables qu’entre la coopérative et ses adhérents. Certes les bourses devraient s’adapter à ne commercer que sur des marchandises physiques, mais est-ce un mal ? Par contre la concurrence pourrait complètement s’exercer et l’adhérent serait à même de bien cerner le coût de son travail et des moyens de production.
Le cas de faillite en coopérative est extrêmement rare et n’a été que l’aboutissement aveugle d’une gestion dogmatique ou dénuée de contrôle interne.
Dans un système coopératif macro-économique l’Etat n’aurait plus que ses rôles régaliens, à savoir l’éducation, la défense et la sécurité. Le pouvoir se déplacerait alors de la démocratie politique à la démocratie économique. La fiscalité devrait complètement être réformée et surtout les taux devraient être considérablement abaissés, car l’Etat n’aurait plus besoin de s’occuper d’économie qui est largement la cause de son endettement.
La SNCF par exemple pourrait être remplacée dans son statut par une coopérative et je n’ose imaginer les avantages et l’amélioration du service. Voici en quelques lignes une idée, qui n’est pas nouvelle, mais que personne n’a pensé à adapter à l’échelle d’un pays ou d’un continent, et qui pourtant a fait ses preuves.
Je ne suis pas en train de vous proposer une économie utopiste, qui nécessiterait de tout détruire et de refaire un monde nouveau. Je laisse cela aux rêveurs qui veulent un monde sans argent, sans loi, sans règle.
Je vous propose un système économique où l’argent est un moyen et non un but, où le dynamisme est récompensé, où la solidarité existe, où la démocratie exerce pleinement les orientations politiques.
Cela s’appelle le système coopératif. Il a été très largement employé en agriculture et a permit la révolution agricole du XXe siècle, et aujourd’hui 40% de l’agriculture et de l’agroalimentaire passe par le système coopératif. La coopération ce sont les bienfaits du capitalisme et les avantages du collectivisme. Chaque performeur peut gagner davantage et les moins chanceux ne sont pas laissés sur le bord de la route, et tout ceci par une décision collective où un homme égale une voix, quel que soit son rôle économique.
Les entreprises peuvent fonctionner sous ce système, mais bien au-delà c’est la macroéconomie qui peut fonctionner par ce principe.
Plus de rapports conflictuels entre patron et ouvriers, entre élus et électeurs. Le patron garde son capital qu’il met à disposition de la coopérative et cette dernière le rémunère au taux du marché et il reste propriétaire. Il exerce alors une place de dirigeant dont la rémunération est décidée par l’assemblée générale. Par contre la spéculation devient dans ce système complètement impossible car par définition les parts sociales ne sont pas commercialisables qu’entre la coopérative et ses adhérents. Certes les bourses devraient s’adapter à ne commercer que sur des marchandises physiques, mais est-ce un mal ? Par contre la concurrence pourrait complètement s’exercer et l’adhérent serait à même de bien cerner le coût de son travail et des moyens de production.
Le cas de faillite en coopérative est extrêmement rare et n’a été que l’aboutissement aveugle d’une gestion dogmatique ou dénuée de contrôle interne.
Dans un système coopératif macro-économique l’Etat n’aurait plus que ses rôles régaliens, à savoir l’éducation, la défense et la sécurité. Le pouvoir se déplacerait alors de la démocratie politique à la démocratie économique. La fiscalité devrait complètement être réformée et surtout les taux devraient être considérablement abaissés, car l’Etat n’aurait plus besoin de s’occuper d’économie qui est largement la cause de son endettement.
La SNCF par exemple pourrait être remplacée dans son statut par une coopérative et je n’ose imaginer les avantages et l’amélioration du service. Voici en quelques lignes une idée, qui n’est pas nouvelle, mais que personne n’a pensé à adapter à l’échelle d’un pays ou d’un continent, et qui pourtant a fait ses preuves.
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