Ma première analyse au lendemain de ce premier tour des élections cantonales, c’est que l’abstention est forte et le front national fait une percée très importante dans l’Allier, ce qui n’est pas l’habitude.
L’abstention est nul doute due au soleil en ce beau jour de mars et que cette élection n’est pas couplée comme d’habitude avec des élections municipales, ajouté à cela par la certitude que dans 3 ans les conseillers généraux n’existeront plus.
La poussée du front national est surtout forte dans les villes, là où le FN présentaient des candidats, ce qui veut dire inévitablement que ce sont les ouvriers et employés qui ont voté FN.
Il faut reconnaître une prime au président du conseil général, qui très bien élu dès le premier tour, est sans doute la reconnaissance d’un homme bien implanté dans son canton et qui de plus travaille beaucoup, et ne cumule aucun autre mandat.
La droite ne paye beaucoup moins la sanction de l’élection à mi-parcours pour le parti au pouvoir que de ne pas afficher clairement son parti. Gérard Deriot et Yves Simon en sont l’exemple même, car ils sont ou ont été parlementaires, soutenant la majorité UMP, mais ne le revendiquant absolument pas lors de cette campagne.
On le voit bien, d’afficher clairement ses idées politiques paye. Le PS et le Front de Gauche le font, et ils gagnent des points sur leurs étiquettes, le front national encore plus, puisque ses candidats sont souvent d’illustres inconnus.
Et sorti de ces affichages, les hommes comptent beaucoup aussi et la connaissance et la reconnaissance sont la clé de la réussite.
Le cas d’André Bidaud à Chantelle, homme qui ne se cache pas d’être à droite, mais sans sectarisme, avec beaucoup de dialogue et avec tous, et un travail conséquent sur son territoire fait la clé de son succès.
Il est l’homme exemple d’une bonne élection.Maintenant il ne faut pas attendre de grandes surprises pour le deuxième tour dimanche prochain, juste peut être du côté d'Hérisson, la seule inconnue est de savoir si Jean-Paul Dufrègne va réussir à garder sa présidence.
L’abstention est nul doute due au soleil en ce beau jour de mars et que cette élection n’est pas couplée comme d’habitude avec des élections municipales, ajouté à cela par la certitude que dans 3 ans les conseillers généraux n’existeront plus.
La poussée du front national est surtout forte dans les villes, là où le FN présentaient des candidats, ce qui veut dire inévitablement que ce sont les ouvriers et employés qui ont voté FN.
Il faut reconnaître une prime au président du conseil général, qui très bien élu dès le premier tour, est sans doute la reconnaissance d’un homme bien implanté dans son canton et qui de plus travaille beaucoup, et ne cumule aucun autre mandat.
La droite ne paye beaucoup moins la sanction de l’élection à mi-parcours pour le parti au pouvoir que de ne pas afficher clairement son parti. Gérard Deriot et Yves Simon en sont l’exemple même, car ils sont ou ont été parlementaires, soutenant la majorité UMP, mais ne le revendiquant absolument pas lors de cette campagne.
On le voit bien, d’afficher clairement ses idées politiques paye. Le PS et le Front de Gauche le font, et ils gagnent des points sur leurs étiquettes, le front national encore plus, puisque ses candidats sont souvent d’illustres inconnus.
Et sorti de ces affichages, les hommes comptent beaucoup aussi et la connaissance et la reconnaissance sont la clé de la réussite.
Le cas d’André Bidaud à Chantelle, homme qui ne se cache pas d’être à droite, mais sans sectarisme, avec beaucoup de dialogue et avec tous, et un travail conséquent sur son territoire fait la clé de son succès.
Il est l’homme exemple d’une bonne élection.Maintenant il ne faut pas attendre de grandes surprises pour le deuxième tour dimanche prochain, juste peut être du côté d'Hérisson, la seule inconnue est de savoir si Jean-Paul Dufrègne va réussir à garder sa présidence.
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